Valérie Plante est prise les culottes baissées.
La mairesse de Montréal est au cœur d'une tempête internationale due à une situation qui menace de faire perdre à la ville le prestigieux Grand Prix de Formule 1.
Montréal, déjà moquée pour ses chantiers routiers interminables, est à la veille d'un embarras monumental. Les critiques se multiplient, et la colère gronde au sein de la Formule 1.
Les grands évènements sportifs comme le Grand Prix du Canada et la Coupe des Présidents sont des moteurs économiques pour Montréal et le Québec, générant des dizaines de millions de dollars en retombées économiques.
Cependant, l'accès à ces évènements est gravement compromis par des chantiers routiers massifs, créant des embouteillages et des retards qui affectent gravement l'image de la ville à l'international.
Cette année, la situation est pire que jamais. Quarante-quatre chantiers routiers majeurs sont planifiés pour l'été 2024, trois d'entre eux étant situés aux portes des sites des grands évènements sportifs.
L’autoroute Bonaventure et le pont de la Concorde, principaux accès aux îles Notre-Dame et Sainte-Hélène où se déroule le Grand Prix, sont en travaux.
Cette situation crée des conditions de circulation cauchemardesques pour les spectateurs, les équipes et les dignitaires.
François Dumontier, organisateur du Grand Prix, exprime ouvertement sa frustration. Il n’est pas le seul : les responsables de la Coupe des Présidents doivent également faire face à un défi logistique énorme pour acheminer quotidiennement des milliers de spectateurs au Royal Montréal. L’accès à L’Île-Bizard pour le tournoi de golf est également compromis par des travaux non terminés.
«Encore cette année, on ne nous épargne pas avec les chantiers. Le Grand Prix, c’est le plus gros évènement sportif et touristique au Canada. C’est une vitrine internationale pour Montréal et le Québec. Il faut se donner toutes les chances possibles de rayonner." affirme Dumontier en furie.
«Quand Lewis Hamilton dit qu’il vient à Montréal depuis 2007 et qu’il y a de la construction sur le pont de la Concorde depuis ce temps, ça n’a pas de bon sens qu’on en soit encore là»
En effet, les critiques ne sont pas nouvelles. En 2019, Lewis Hamilton, pilote de F1 chez Mercedes, avait déjà tourné en dérision les travaux éternels sur le pont de la Concorde.
« Ce pont-là, ils y travaillent depuis que j’ai commencé en F1. »
Cette année encore, les visiteurs internationaux devront composer avec des retards et des détours, donnant une image de chaos et de mauvaise gestion.
Son patron chez Mercedez, Toto Wolff, avait aussi exprimé son exaspération en déclarant : « Je ne suis pas impressionné. Ça n’arrête jamais et il y en a partout. »
Cela fait trois hommes de grandes importance qui se sentent trahis par la mairesse et son incompétence, elle qui est supposée être à la tête d'une ville majeure internationale.
Dumontier, Hamilton, Wolf...trois hommes floués par cette femme qui est en train de tromper une ville...une province en entier...
«On ne s’est jamais empêchés de mentionner ce qui ne fonctionne pas. Et on l’a encore dit récemment". rajoute Dumontier.
«On dirait que le bras droit ne parle pas au bras gauche dans ces affaires-là. Et qu'on ne me sorte pas l’argument facile des travaux qui peuvent seulement être faits l'été. Je n'y crois pas."
Les justifications habituelles de « Mobilité Montréal » - dégel, climat, saison courte de travaux, infrastructures vieillissantes - ne suffisent plus.
Monsef Derraji, porte-parole de l’opposition officielle en matière de transports, pointe du doigt la mauvaise planification et la coordination défaillante entre les différents paliers de gouvernement.
« On ne fait rien pour améliorer l’expérience des athlètes, des touristes et des spectateurs », déplore-t-il.
Montréal est au bord de la crise La situation est critique. Le Grand Prix de Formule 1 et la Coupe des Présidents, l'un des plus grands tounois de golf au monde, devraient être des vitrines pour Montréal, mais la ville risque de devenir synonyme de désorganisation.
Les conséquences économiques et en termes de réputation sont énormes. Valérie Plante et son administration doivent prendre des mesures drastiques et immédiates pour résoudre ces problèmes, sinon Montréal continuera de voir ses grands évènements menacés et sa réputation internationale gravement entachée.
La menace de perdre le Grand Prix de Formule 1 au profit de Toronto est bien réelle. Les retombées économiques de cet évènement sont énormes, et sa perte serait un coup dur pour l'économie et la réputation de Montréal.
Le Grand Prix attire des touristes du monde entier, génère des millions de dollars en retombées économiques et place Montréal sous les projecteurs internationaux.
Si Toronto réussit à s'approprier cet évènement, ce serait une victoire retentissante pour la ville et un revers embarrassant pour Montréal.
Pour éviter cette catastrophe, une mobilisation rapide et efficace est nécessaire. Valérie Plante et son administration doivent prendre des mesures immédiates pour résoudre les problèmes de mobilité et assurer un accès sans encombre aux grands évènements.
Cela inclut une meilleure planification des travaux, une communication transparente avec les organisateurs d'évènements et une coordination étroite avec les différents paliers de gouvernement et partenaires privés.
Le temps presse pour Montréal. Si rien n'est fait rapidement, le Grand Prix de Formule 1 pourrait bien quitter la ville pour s'installer à Toronto, entraînant avec lui des retombées économiques, une visibilité internationale et une partie de l'identité sportive de la ville.
Valérie Plante doit agir maintenant pour sauver l'un des évènements les plus importants de Montréal et restaurer la confiance des organisateurs, des spectateurs et des citoyens.
Oui sinon, il faudra lui montrer la porte de sortie. La mairesse "granola" n'a tout simplement pas l'étoffe pour diriger une ville internationale comme Montréal..