L’équipe canadienne est à un match de la grande finale du tournoi des 4 Nations, mais une pression monumentale repose sur ses épaules.
Il ne s’agit plus seulement de hockey international, mais aussi d’un véritable tremblement de terre médiatique qui secoue l’équipe : Sidney Crosby pourrait avoir joué ses derniers matchs avec les Penguins de Pittsburgh.
Alors que le Canada se prépare à affronter la Finlande dans un match crucial, les rumeurs entourant Crosby éclipsent presque l’enjeu sportif.
Ce matin, les médias de Pittsburgh ont largué une véritable bombe :
Crosby accepterait maintenant de lever sa clause de non-échange après le tournoi.
L’intensité du tournoi des 4 Nations lui aurait rappelé ce qu’était le vrai hockey compétitif, ce que Pittsburgh ne peut plus lui offrir.
Les Penguins sont en train de s’écrouler et vont rater les séries pour une troisième année consécutive. Kyle Dubas sait que la reconstruction doit commencer, et il aimerait que Crosby accepte enfin de partir.
C’est un moment charnière dans la carrière de Sid the Kid. Après avoir dominé avec Team Canada et goûté à des matchs à haute intensité, peut-il réellement retourner patauger dans une équipe en ruine à Pittsburgh ?
Même les médias de Pittsburgh commencent à comprendre : il n’y a plus rien pour lui là-bas.
Le malaise entre Crosby et Kyle Dubas : rupture imminente ?
Les tensions sont évidente entre le capitaine des Penguins et son DG Kyle Dubas.
Dubas veut une reconstruction totale et sait que le meilleur moyen de repartir à zéro est de se débarrasser de Crosby.
Mais Crosby, jusqu’ici, refusait catégoriquement de lever sa clause de non-échange.
Mais Crosby vient de vivre un tournoi électrisant. Il a ressenti à nouveau la vraie adrénaline du hockey qui compte.
Kyle Dubas est en mode prière. Il espère que l’expérience du tournoi va enfin convaincre Crosby qu’il est temps de partir.
Et les options pour Crosby ne manquent pas. L’équipe la plus agressive pour Crosby est l’Avalanche du Colorado. La raison ? Son meilleur ami, Nathan MacKinnon.
MacKinnon rêve de jouer avec son idole de jeunesse. L’Avalanche veut une autre Coupe Stanley et voit en Crosby la pièce manquante.
En retour, Pittsburgh pourrait obtenir Casey Mittelstadt, un choix de premier tour, et d’autres éléments pour leur reconstruction.
Là où ça devient intéressant, c’est que Pittsburgh pousse de plus en plus pour cet échange. Si Sidney Crosby reste discret, son comportement en dit long.
Il passe de plus en plus de temps avec ses coéquipiers dans le vestiaire canadien. Il ne parle plus de Pittsburgh. Les journalistes présents sur place sentent qu’il y a quelque chose de différent.
C’est comme si Crosby savait que ce tournoi pourrait être sa transition vers autre chose. Le Canada doit battre la Finlande pour accéder à la grande finale.
Mais est-ce que l’onde de choc Crosby va perturber l’équipe ? Crosby est en mission sur la glace. Les jeunes Canadiens, eux, savent qu’ils jouent aux côtés d’une légende dont l’avenir est en train de basculer sous leurs yeux.
Ce tournoi pourrait être le dernier grand moment de Crosby sous un autre chandail que celui d’une équipe de la LNH.
Si le Canada bat la Finlande, Crosby aura une chance de remporter un dernier titre avant peut-être de quitter Pittsburgh.
Mais la situation est en train d’exploser à Pittsburgh. Ce tournoi vient peut-être de convaincre Sidney Crosby de tourner la page et de se battre pour une autre Coupe Stanley, ailleurs.
Depuis longtemps, les tensions entre Sidney Crosby sont évidentes. Deux hommes, deux visions opposées, et aujourd’hui, tout éclate au grand jour.
Dubas veut reconstruire. Crosby refuse de voir la vérité.Et au milieu de ce chaos, une guerre d’ego s’installe.
Tout est parti d’une fuite dans les médias. Quelqu’un, quelque part, a fait savoir que Crosby refusait catégoriquement de lever sa clause de non-échange.
Immédiatement, la pression a explosé. Les partisans, les analystes, les médias de Pittsburgh… tout le monde s’est mis à questionner la position de Crosby.
Pourquoi s’accroche-t-il à un club qui ne gagnera plus jamais avec lui? Pourquoi refuse-t-il de voir la réalité en face?
Le responsable de cette fuite? Tout pointe vers Kyle Dubas.
Dubas sait que le public adore Crosby. Il sait aussi que si Crosby continue de bloquer la reconstruction, c’est lui, le DG, qui va porter le chapeau.
Alors Dubas joue avec les médias. Il laisse filtrer l’information et attend la réaction. Crosby passe pour un capitaine borné qui refuse d’accepter la fin d’une époque.
Mais en réalité, cette situation est l’échec personnel de Dubas. Dubas a tout donné à Crosby… et s’est ruiné en essayant
Quand Kyle Dubas est arrivé à Pittsburgh, il n’a pas osé dire la vérité à son capitaine. Il aurait pu lui dire :
« Sid, l’équipe est finie. Il faut reconstruire. Tu veux rester ou partir? »
Mais au lieu de ça, Dubas a tout fait pour plaire à Crosby. Résultat? Des décisions catastrophiques.
Crosby voulait un gardien solide? Dubas a voulu lui faire plaisir. Il a offert un contrat insensé à Tristan Jarry. (5 ans, 5.375 M$ par année).
Un gardien fragile, inconstant, qui a été mis au ballotage cette saison. 8 victoires en 20 matchs, une moyenne de 3,26 et un taux d’arrêts de .886. Un contrat qui dure jusqu’en 2028 et qui paralyse la masse salariale.
L’erreur Ryan Graves est encore plus grave. (contrat : 6 ans, 4,5 M$ par saison)
Dubas a signé un défenseur de troisième paire, mais il l’a payé comme un top-4. Rayé de la formation 15 fois. 0 point en 31 matchs. Sous contrat jusqu’en 2029. Une catastrophe totale qui pèse lourdement sur la masse salariale.
L’échec Erik Karlsson est encore pire.
Crosby voulait une équipe compétitive, alors Dubas a tenté un coup de maître… qui s’est retourné contre lui. Karlsson est incapable de défendre avec un salaire de 11,5 millions par saison jusqu’en 2027. Pour l’obtenir, Pittsburgh a donné un choix de 1er tour en 2024, qui est devenu Sam Dickinson, un futur défenseur élite.
Mikaël Granlund, considéré comme un boulet à Pittsburgh, a explosé à San Jose. Il vient d’être échangé à Dallas contre un choix de 1ère et 4e ronde. Cela signifie que Dubas a en réalité sacrifié deux choix de 1ère ronde pour Karlsson.
Pire encore? Karlsson ne fonctionne même pas avec les Penguins. Un fiasco monumental.
Le désastre Jake Guentzel a été la goutte de trop. Sidney Crosby a perdu son seul ailier élite. Échangé contre Michael Bunting et trois espoirs moyens. Aucun choix de premier tour. Aucune vraie compensation pour Crosby.
Résultat? Crosby joue maintenant avec des joueurs de soutien. Il traîne une équipe en ruines pendant que Dubas prétend qu’ils peuvent encore gagner.
Aujourd’hui, Kyle Dubas est prêt à changer de cap. Il veut enfin reconstruire. Mais il sait que tant que Crosby refuse un échange, il est coincé. Alors il le piège.
Dubas laisse couler l’info : « Crosby ne veut pas lever sa clause de non-échange. » Résultat? Tout le monde critique Crosby. Dubas se lave les mains. Il laisse le public forcer Crosby à prendre une décision.
Dubas tente même d’expliquer que ses erreurs sont de la faute de Crosby.
« J’ai signé Jarry et Graves pour Crosby. »
« J’ai sacrifié un premier choix pour Karlsson parce que Crosby voulait gagner. »
« J’ai donné Guentzel parce que l’équipe devait évoluer. »
Il tente de faire passer Crosby pour le responsable de l’échec.
Le tournoi des 4 Nations a peut-être tout changé
Alors que tout semblait figé, quelque chose d’inattendu s’est produit. Sidney Crosby a joué des matchs qui comptent. Il a été acclamé par la foule de Montréal. Il a ressenti la pression du vrai hockey de haut niveau. Il a retrouvé l’adrénaline des grandes compétitions.
Pendant ce temps, Kyle Dubas prie pour qu’il change d’avis. Là où Crosby voulait mettre des bâtons dans les roues de son DG, il pourrait finalement décider de partir.
Cette situation ne peut pas durer éternellement. Aujourd’hui, Crosby a une décision à prendre. Rester à Pittsburgh et sombrer avec une équipe en ruines. Ou lever sa clause de non-échange et tenter une dernière conquête de la Coupe Stanley.
Son avenir est entre ses mains. Mais il doit agir maintenant.