Shane Wright pour Sean Farrell: Kent Hughes dirait NON

Shane Wright pour Sean Farrell: Kent Hughes dirait NON

Par David Garel le 2024-01-06
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Depuis le début de la saison, la performance de Shane Wright dans la ligue américaine de hockey ne cesse de décevoir les attentes placées en lui. Le Kraken de Seattle misait sur son talent exceptionnel pour briller et marquer l'histoire de la jeune franchise, mais malheureusement, les chiffres ne mentent pas.

En 26 matchs, le joueur de centre prodige n'a réussi qu'à inscrire 11 buts et à accumuler 7 passes dans la ligue américaine, totalisant ainsi seulement 18 points. Une statistique qui ne cadre pas du tout avec les prévisions ambitieuses du Kraken qui espérait voir Wright électriser la ligue américaine.

Le bilan de Shane Wright devient d'autant plus préoccupant lorsqu'on le compare à d'autres espoirs du Rocket de Laval qui font parler d'eux cette saison.

Logan Mailloux et Joshua Roy affichent des performances supérieures, accumulant plus de points que le prodige décevant. Même des joueurs tels que Xavier Simoneau et Sean Farrell parviennent à surpasser Wright, créant ainsi une pression supplémentaire sur le joueur de centre du Kraken.

Le constat est rude, et même le Canadien de Montréal, qui a toujours été à l'affût des jeunes talents sur le marché des transactions, semble refroidi par les performances en dents de scie de Shane Wright.

Nous sommes certains que Kent Hughes dirait non à une proposition envoyant Wright à Montréal pour Farrell. Nous avons le sentiment que Farrell va connaître une plus belle carrière que Wright dans la LNH. Cela en dit long sur la déception que représente actuellement le joueur de centre du Kraken.

Il est indéniable que la saison de Shane Wright sent le flop à plein nez. Le jeune prodige, censé être la nouvelle sensation du hockey, peine à se démarquer, laissant planer des doutes quant à son avenir dans la ligue américaine.

Reste à savoir si Wright parviendra à surmonter cette période difficile et à redorer son blason, ou si le Kraken devra se résoudre à accepter que parfois, même les plus grandes promesses peuvent devenir des échecs. Parlez-en à Alexandre Daigle...

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