C’est une scène absolument surréaliste, d’un niveau d’inconfort rarement atteint en télévision québécoise, qui s’est déroulée sur les ondes de TVA Sports.
En direct à la télévision, Jean-Charles Lajoie a osé tenir des propos d’une bassesse inouïe envers son collègue Tony Marinaro.
D’un ton arrogant, méprisant et profondément insultant, Lajoie s’est adressé à Marinaro en lui lançant cette phrase d’une violence verbale ahurissante :
« Ne viens plus jamais proche de moi comme ça, ton hygiène corporelle est discutable. »
L'extrait vidéo suivant nous donne des frissons dans le dos:
Une attaque gratuite, humiliante et d’une méchanceté sans nom. Un commentaire qui ne relève plus du débat sportif, mais bien d’une tentative d’intimidation en règle, exécutée avec un mépris glaçant pour son collègue.
Une déclaration qui dépasse les limites du respect pour tomber dans l’attaque personnelle la plus scandaleuse qui soit.
Le mépris public de Lajoie est devenu un acte d’intimidation en pleine télé
Comment un animateur sportif peut-il en arriver à insulter publiquement un confrère qui, en plus, est largement plus respecté que lui dans le domaine du journalisme sportif ?
Car soyons honnêtes : Tony Marinaro est une figure incontournable du sport québécois, un analyste respecté, un journaliste influent avec une communauté de fidèles et une crédibilité bâtie sur des années de travail acharné.
Et en face ? Jean-Charles Lajoie, l’homme dont plus personne ne veut, qui aligne les échecs médiatiques et qui, en guise de dernière planche de salut, s’accroche à une émission qui peine à dépasser les 20 000 téléspectateurs en temps réel.
Le contraste est frappant. D’un côté, un journaliste respecté et suivi par des milliers de fans, de l’autre, une personnalité détestée du public québécois, qui semble incapable de générer autre chose que du malaise et de la controverse pour exister médiatiquement.
Mais au-delà du manque flagrant de classe de Lajoie, une question plus grave se pose :
Il s'agit d'un moment de télévision où l'on voit un homme respecté subir en silence une attaque personnelle ignoble, et ce, sans que personne sur le plateau n’intervienne.
Lajoie ne peut pas tomber plus bas, c’est un fait. Son émission est un échec d’audience, sa crédibilité est au plus bas, et il tente désespérément d’exister en utilisant des tactiques de provocation grossières.
Ce n’est pas une surprise venant d’un homme qui a passé sa carrière à se tirer dans le pied à coups de déclarations ridicules et de prises de position opportunistes.
Ce que Jean-Charles Lajoie a fait n’a rien à voir avec le journalisme. Il ne s’agissait ni d’un débat, ni d’une analyse, ni d’une discussion animée sur un sujet sportif.
Non, c’était de l’intimidation pure et simple, un comportement toxique qui n’a pas sa place à la télévision.
Et si TVA Sports avait un minimum de respect pour son public, la chaîne devrait sanctionner immédiatement Lajoie pour ce dérapage honteux.
Mais en a-t-elle encore les moyens ? TVA Sports est en chute libre, accumule des pertes de plusieurs centaines de millions, peine à attirer des commanditaires, et sa programmation est un désert d’intérêt.
Dans ce contexte, peut-on vraiment s’étonner que des animateurs aussi détestés que Lajoie soient toujours à l’antenne ?
Jean-Charles Lajoie est en train de briser sa réputation jusqu'au fond du trou, et avec lui, c’est tout TVA Sports qui coule.
Le scandale est sans précédent.
La scène est inacceptable.
Et surtout, le traitement subi par Tony Marinaro restera comme l’un des moments les plus troublants de l’histoire récente des médias sportifs au Québec.
Plutôt que de tenter de se rattraper ou d’exprimer le moindre regret pour ses propos ignobles, Lajoie a choisi de persévérer dans l’humiliation, prenant Félix Séguin comme complice involontaire d’une scène d’une cruauté sidérante.
Alors que Séguin s’installait à la place laissée vacante par Marinaro, il a poussé ses propos horribles encore plus loin.
D’un geste théâtral, Séguin a sorti un mouchoir et a commencé à essuyer la table, comme si la présence de Marinaro avait laissé derrière elle une trace indésirable.
Et Lajoie, visiblement satisfait de son œuvre, ne s’est pas arrêté là.
D’un ton baveux, il a demandé à Séguin, devant un auditoire médusé :
« As-tu senti un ‘fume’ quand tu t’es assis sur la chaise ? »
Une nouvelle attaque gratuite, mesquine et profondément déplacée, qui enfonce encore plus le clou dans ce qui est en train de devenir un scandale télévisuel majeur.
Face à ce déferlement de mépris, Félix Séguin a eu un choix à faire : soit désamorcer la situation et prendre ses distances, soit embarquer dans le jeu dégradant de son collègue.
Et malheureusement, son geste théâtral d’essuyer la table, suivi d’un ricanement complaisant, laisse peu de place à l’interprétation.
En d’autres mots, Séguin n’a pas cherché à calmer Lajoie. Il a amplifié le malaise.
Le malaise était tel que les téléspectateurs, même ceux qui sont habitués aux frasques de Lajoie, n’en revenaient tout simplement pas.
Ce n’est plus seulement une question de différend professionnel ou d’animosité personnelle. C’est une attaque vicieuse, un manque total de classe, et surtout un manque flagrant de professionnalisme.
Soyons clairs : Lajoie ne peut même pas plaider l’erreur de jugement.
Il a persisté et signé, s’enfonçant dans une spirale d’humiliation qui dépasse les limites du simple malaise télévisuel.
À ce stade, il ne s’agit plus de sport.
C’est du harcèlement en direct. Une mise en scène grotesque et cruelle, diffusée devant des milliers de téléspectateurs.
Et TVA Sports, déjà au bord de l’effondrement, n’avait franchement pas besoin d’un tel scandale.
Dans une station où l’avenir est incertain, où les pertes financières se comptent en centaines de millions, où des animateurs de talent sont remerciés sans ménagement, comment peut-on tolérer un spectacle aussi honteux ?
Où sont les dirigeants ?
Comment peut-on laisser passer une scène aussi indéfendable sans conséquence ?
Lajoie vient peut-être de sceller son propre sort
Que reste-t-il à Jean-Charles Lajoie après ça ?
Déjà largement décrié, déjà associé à l’échec de TVA Sports, déjà relégué au rang de provocateur de bas étage, il vient d’atteindre un point de non-retour.
Il n’y a plus d’excuse possible. Plus de justification possible.
Ce soir, en direct, Jean-Charles Lajoie a démontré qu’il était prêt à tout pour faire parler de lui.
Même à humilier gratuitement un confrère.
Même à piétiner les règles de base du respect et du professionnalisme.
Même à se tirer lui-même une balle dans le pied, en direct, sous les yeux d’un public outré.
Tony Marinaro, lui, en ressort la tête haute.
Jean-Charles Lajoie, lui, n’en ressort peut-être pas du tout.
Parce que si TVA Sports avait encore un semblant de crédibilité, il n’aurait aucune autre issue possible que la porte.