- Pourquoi Marc-Antoine Godin prend Marc Bergevin et Scott Mellanby en PITIÉ??????
- Si Mellanby avait été nommé PRÉSIDENT ou DG...
- Une émeute aurait EXPLOSÉ à Montréal...
- Tout le monde sait que Mellanby est la COPIE de Marc Bergevin....
- On ne pleurera pas sur son sort..
- Encore moins sur celui de BERGY...
- On a envie de dire à Godin..
- Si tu veux de la FIDÉLITÉ...
- Achète toi un chien...
- Hockey30 à 100% derrière Molson dans ce dossier.
- Il ne doit RIEN à Bergevin..
- C'est plutôt BERGY qui lui doit tout...
- Lui donner cette job...
- Et le garder en poste pendant 10 ans...
- Alors que tout le Québec veut son CONGÉDIEMENT depuis des lunes...
- Bergevin devrait remercier Molson...
- Au lieu de lui en vouloir..
- Et Godin devrait arrêter de vouloir être l'ami du DG CONGÉDIÉ en lui lichant les bottes...
- AMEN...
- Voici le passage du texte de Godin qui pleure sur le sort de Bergevin et son lieutenant...
- Arrête Marc-Antoine...on va pleurer...
Jusqu’à tout récemment, Mellanby croyait donc être en position d’obtenir ce poste. Les choses étaient en marche. Or, Molson a changé de cap, et on a appris samedi soir qu’il avait obtenu des Rangers de New York la permission de parler à Jeff Gorton, leur ancien DG, possiblement pour qu’il remplisse cette nouvelle fonction de président des opérations hockey.
C’est tout à coup devenu clair que Mellanby n’était plus considéré. Lorsqu’il a appris ce qui se tramait avec Gorton, l’homme de 55 ans a choisi de démissionner. Le lien de confiance était brisé et il ne pouvait plus aspirer à une promotion chez le Canadien.
Pour un homme qui est à l’emploi de l’équipe depuis neuf ans, et à qui l’on a fait proposé non pas un, mais deux postes de haute direction avant de lui glisser le tapis sous les pieds, la façon de faire n’est pas très chic. Surtout que Gorton, qu’on semble tout à coup lui préférer, était déjà disponible au tout début du processus. Ce n’est pas comme si un homme incontournable était soudainement apparu à portée de main alors qu’il ne l’était pas à l’origine.
Mais cette histoire a aussi des répercussions immédiates sur Bergevin, car, au-delà du fait qu’il appuyait l’idée que Mellanby prenne éventuellement sa place, il est loin d’être acquis qu’il était au courant des tractations entourant la création d’un poste de président des opérations hockey. Si Bergevin a bel et bien appris les manœuvres de Molson par le truchement des médias sociaux, comment peut-il lui-même rester en poste, sachant que non seulement son supérieur magasine son remplaçant, mais qu’il vient de faire un croc-en-jambe à son plus fidèle lieutenant?
Toute cette gestion, même si elle finit par culminer sur des choix intéressants pour l’avenir de équipe, aura été très malhabile de la part de Molson. Sa façon de procéder a plongé l’état-major de l’équipe dans une crise qui était latente, et cette situation déjà dysfonctionnelle est devenue intenable pour Bergevin, qui voit les événements se développer alors qu’il est en quarantaine, chez lui, à soigner sa COVID-19.
Déjà écorchée par plusieurs événements tels que le repêchage de Logan Mailloux – dont Molson a accepté la responsabilité – la réputation du Canadien continue d’en prendre pour son rhume. Le hockey est une business de résultats, mais c’est aussi une business d’êtres humains, et la façon dont ça se termine pour Mellanby, et vraisemblablement pour Bergevin, ne passera pas inaperçue.