- Patrick Roy a sauté une COCHE!!!!
- Et a été EXPULSÉ du match préparatoire contre les Cataractes de Shawinigan...après avoir contesté une décision des arbitres.
- Rappelons que Roy continue d'affirmer que la série demi-finale remportée par les Cataractes de Shawinigan contre ses Remparts de Québec lui a été VOLÉE par les arbitres.
- En plus, c'est l'un des arbitres controversés, Nicolas Dutil, qui a expulsé Roy...(ce même arbitres s'étaient ENGUEULÉ SOLIDE avec lui pendant la demi-finale).
"Je suis surpris étonné du choix des officiels pour cette rencontre, mais encore plus surpris d’avoir été expulsé sans même avoir reçu d’avertissement. Un manque de «tact» total. Comme je l’ai dit à mes joueurs, je considère que je n’ai pas le même traitement que les autres entraîneurs dans la Ligue. C’est pour ça que j’essaie de leur parler le moins possible dans les matchs. Ils sont peut-être plus sévères envers moi qu’envers les autres».
- LE ROI n'a pas acceté qu'on lui donne un deux minutes pour avoir engueulé l'arbitre suite à une pénalité non-décernée à Nathan Gaucher.
- Roy a alors PÉTÉ sa COCHE et crier sur l'arbitre comme s'il était une M...sur le trottoir..
- Le coach a aussitôt été EXPULSÉ.
«Je me suis dit : “Tant qu’à être dehors, aussi bien être dehors pour vrai.’’ Dans mes bonnes années, d’après-moi le rack à hockey aurait revolé et pas mal de choses auraient revolé, mais aujourd’hui, j’essaie de rester plus tranquille.»
«On est des gagnants, on est des gens fiers et la défaite, on l’a encore sur le coeur, a-t-il dit. C’est peut-être moi qui va devoir faire un mea culpa, me regarder dans le miroir et trouver une façon de la digérer. Ça allait bien jusque-là [ce soir] et j’avais de la misère à comprendre pourquoi. À partir du moment où la gâchette a été vite, je me suis laissé aller.»
À quelque part, il va falloir que j’arrive à vivre avec la défaite et je n’étais pas peut-être pas prêt pour ça aujourd’hui, a-t-il poursuivi. Ça me revient aussi [comme responsabilité]. Je comprends le rôle humain des officiels, les gars se donnent et sont passionnés, ont des emplois dans leur vie. Ç’a pété et il fallait peut-être que ça pète aussi.»