Alors que les rumeurs de congédiement enflent autour de l'avenir de Rob Blake en tant que directeur général des Kings de Los Angeles, une intrigue en coulisses se dévoile, mettant en lumière une alliance surprenante entre Luc Robitaille et Marc Bergevin, qui auraient conspiré dans l'ombre de Blake.
Les spéculations brûlent autour du fait que Robitaille aurait positionné Bergevin en tant que conseiller senior auprès de Blake, avec l'intention évidente de le remplacer dès que l'occasion se présenterait.
Le constat est maintenant clair : les réticences de Blake à approuver la nomination de Bergevin en tant que son bras droit étaient justifiées.
Il avait pressenti que Bergevin et Robitaille formaient une alliance secrète, eux qui sont des meilleurs amis, complotant des plans dans son dos.
La révélation de cette machination plonge Blake dans une situation délicate, mettant en lumière les tensions internes au sein de l'organisation des Kings.
Cependant, cette affaire révèle également la patience remarquable de l'organisation des Kings. Des figures telles que Dean Lombardi, qui a occupé le poste de directeur général pendant neuf ans, et Bob Taylor, qui y est resté onze ans, illustrent la stabilité et la confiance accordées aux dirigeants.
La question demeure de savoir combien de temps Rob Blake choisira de continuer dans ses fonctions, s'il sera congédié ou s'il voudra démissionner. Tout cela influencera la décision des propriétaires des Kings.
Elliotte Friedman, journaliste le plus renommé en Amérique du Nord, souligne que Bergevin semblait être en place pour prendre la relève de Blake, mais se demande si cela restera le plan de succession en cas de départ de ce dernier.
Finalement, la décision revient aux propriétaires des Kings, dont les intentions demeurent énigmatiques par rapport à d'autres groupes de propriétaire de la ligue.
Les proprios des Kings ont toujours joué à cache-cache. Mais l'alliance entre Robitaille et Bergevin ne peut plus être cachée.
Tout comme le fait que Pierre-Luc Dubois pourrait être racheté. Ça sent l'effet domino à Los Angeles. Ça va brasser. Bergevin, le traître, attend son tour...