Louis Morissette reconnu coupable

Louis Morissette reconnu coupable

Par David Garel le 2025-01-23

On pensait qu’il avait appris sa leçon. On croyait que son mea culpa maladroit, où il s’était excusé du bout des lèvres après des mois à démolir Lane Hutson, Nick Suzuki et l’ensemble du Canadien de Montréal, marquait un tournant.

Mais non. Louis Morissette est de retour, plus cynique et grincheux que jamais. 

Son dernier épisode du balado La Poire et le Fromage a été une véritable descente aux enfers où il s’est empressé de détruire toutes ses excuses en continuant de s’acharner sur les joueurs du CH.

Avec son habituelle arrogance, Morissette s’est encore attaqué à Lane Hutson, qu’il avait pourtant récemment encensé du bout des lèvres.

Après un match difficile contre les Maple Leafs, il n’a pas hésité à l’écraser de nouveau, ravivant ses anciennes critiques.

« J’ai reçu un cadeau. Voilà, j’ai reçu un cadeau de mon ami Jean-Philippe (un chandail de Lane Hutson qui portait avec dégoût). Monsieur moins 5. »

Ce surnom méprisant pour Hutson, référence à son différentiel lors du dernier match, démontre à quel point Morissette ne peut s’empêcher de sauter à la gorge de ceux qu’il a déjà ciblés.

Le défenseur, pourtant la coqueluche des partisans et candidat au trophée Calder, doit encore subir ses attaques.

Et comme si ce n’était pas suffisant, Morissette enfonce le clou en répétant que le jeune défenseur ne sera jamais à la hauteur des attentes, qu’il a une « shot de bantam A » et que son coup de patin est tout simplement médiocre.

Si Hutson a encore une fois été sa victime favorite, Morissette s’est également trouvé un nouveau bouc émissaire en la personne de Jacob Dobes, la révélation dans les buts du Canadien.

Là où les partisans voient un vent de fraîcheur et d’espoir, Morissette, lui, ne voit qu’un mirage.

« Tu manques de respect à Montembeault. Dobes ? Je ne dis pas qu’il est mauvais, mais il n’a joué que cinq matchs. Calmez-vous. »

Sa moquerie ne s’est pas arrêtée là. Il a souligné à répétition ce qu’il considère comme une faille dans son jeu, disant :

« Il laisse tout passer au niveau du low-blocker. Il est grand, mais il s’effondre à terre. Ça va finir par se voir. »

Pour Morissette, le gardien tchèque n’est rien de plus qu’un feu de paille, et il n’hésite pas à le souligner avec son ton condescendant habituel.

Et que dire de Nick Suzuki, la cible récurrente de Morissette ? Son mea culpa de janvier où il avait admis à contrecœur que Suzuki jouait mieux n’aura été que passager.

« Pour moi, Suzuki est un des joueurs les plus surestimés de la LNH. Oui, il produit, mais il ne fait pas gagner une équipe. »

Même après avoir affiché une constance remarquable cette saison, Suzuki reste, pour Morissette, un joueur indigne de son statut de capitaine.

Il continue de marteler qu’il n’a « pas l’étoffe d’un vrai leader », et selon lui, « ce n’est pas un premier centre d’une équipe qui veut gagner. »

Pourquoi Morissette est-il aussi aigri ?

Mais qu’est-ce qui pousse Louis Morissette à s’acharner avec une telle hargne sur le Canadien de Montréal ?

Jadis apprécié pour son humour et sa vivacité d’esprit, il est désormais perçu comme le “grincheux du Québec”. Il ne laisse aucun répit à l’équipe, même lorsqu’elle performe au-delà des attentes.

Ses détracteurs se posent la question : est-ce un personnage médiatique, une simple stratégie pour faire parler de lui, ou est-il réellement devenu ce mononcle aigri qui ne peut s’empêcher de déverser son fiel sur une organisation qu’il semblait autrefois aimer ?

Le problème, c’est que Morissette, avec son immense plateforme médiatique, influence négativement l’opinion publique.

Il empêche les fans de simplement profiter du parcours du CH en remettant constamment en question chaque succès avec cynisme et condescendance.

« Ils ne feront pas les séries. Ils vont se faire dépasser par les Rangers. Ils vont repêcher 15-16e, puis tout le monde sera déçu. »

Le pire dans tout ça ? Morissette ne semble même pas s’en rendre compte. Pour lui, critiquer est devenu un automatisme.

À croire qu’il préfère que le Canadien échoue, simplement pour pouvoir dire : « Je vous l’avais dit. »

Sur les réseaux sociaux, les réactions sont unanimes : les partisans du Canadien n’en peuvent plus. Chaque sortie de Morissette est une douche froide sur l’enthousiasme ambiant.

Plutôt que de reconnaître les efforts et les progrès de l’équipe, il trouve toujours le moyen de la rabaisser.

Les critiques fusent :

• « Morissette, c’était un gars drôle avant. Là, il est juste insupportable. »

• « Il détruit Hutson, puis s’excuse, puis recommence. C’est quoi son problème ? »

• « Le CH va bien, on a du fun, mais lui, il continue de chialer. Ça devient ridicule. »

La patience des Québécois s’effondre et l’exaspération monte. Louis Morissette, autrefois adoré pour ses talents de comédien, d'humoriste et de producteur, devient lentement un mal-aimé médiatique qui ne semble plus en phase avec le public qu’il avait conquis.

Alors que Morissette continue de s’acharner sur le CH, une question se pose : peut-il encore être pris au sérieux ? Chaque nouvelle sortie entame un peu plus sa crédibilité.

Ses excuses sonnent tellement "fake", ses critiques sont redondantes, et son obsession à tout détruire le rend de plus en plus antipathique.

Il est temps pour lui de se poser une question essentielle : veut-il être un commentateur pertinent et nuancé, ou simplement le “mononcle aigri” du Québec ?

En attendant, une chose est certaine : les fans du Canadien ont décidé d’avancer, avec ou sans lui.

Si l’on croyait que Louis Morissette avait touché le fond avec ses critiques malaisantes contre le Canadien de Montréal, il a prouvé que sa capacité à dénigrer l’équipe semblait inépuisable.

Ses déclarations les plus récentes, truffées de mépris et d’arrogance, viennent confirmer ce que tout le Québec soupçonne déjà : Morissette ne veut pas que le Canadien réussisse, et il est prêt à tout pour entretenir sa posture de "hater en chef."

« On n’a pas de défensive ! On n’a pas de défensive ! Il n’y a pas un défenseur là-dedans qui jouerait dans une autre équipe. »

Cette affirmation, balancée avec une assurance déconcertante, prouve à quel point Morissette est déconnecté de la réalité.

Le CH, actuellement dans la course aux séries, repose en grande partie sur la solidité de sa brigade défensive menée par Kaiden Guhle et Lane Hutson. Mais dans l’univers tordu de Morissette, les faits n’ont aucune importance.

Ce qui choque le plus, ce ne sont pas ses critiques envers Hutson, mais l’acharnement pathologique avec lequel il le fait.

Non content d’insulter les performances du jeune défenseur, Morissette est allé encore plus loin, critiquant ouvertement son coup de patin en déclarant :

« Il rame, il rame, il rame. Vous l’avez vu ? Il rame sur la glace, c’est pas possible ! »

Et évidemment, il méprise autant les fans que Jakub Dobes.

« Non, mais les fans m’énervent. Après cinq matchs, ils sont déjà prêts à lui ériger une statue. »

Le plus triste dans toute cette saga, c’est que Louis Morissette était autrefois une figure adorée du public québécois, un créateur talentueux qui a marqué l’histoire télévisuelle avec sa série C.A..

Mais aujourd’hui, son obsession maladive à critiquer le Canadien de Montréal l’a transformé en un personnage insupportable et totalement déconnecté du public.

Cette transformation du comédien en “mononcle grincheux” est devenue un problème, non seulement pour lui, mais pour tout le Québec qui ne comprend plus pourquoi il ne peut pas simplement lâcher prise et apprécier le succès du Tricolore.

Après des mois à planter les joueurs du Canadien, à se moquer des fans, et à jouer les grands connaisseurs arrogants, une chose est claire : Louis Morissette est reconnu coupable d’être le plus grand emmerdeur de la sphère sportive québécoise.

Il a tout essayé : se cacher, revenir, s’excuser à moitié, puis replonger dans ses critiques, mais la réalité est simple : le Québec n’en peut plus.

On dirait qu’il déguste chaque défaite du Canadien comme une victoire personnelle, juste pour prouver qu’il avait raison.

Son nom n’évoque plus le rire, mais l’irritation. Le Québec ne le supporte plus.

Le verdict est sans appel : Louis Morissette est reconnu coupable d’être le gars le plus désagréable du Québec.