Logan Cooley a un goût amer en pensant à Montréal.
C'était un jour comme les autres, Mais pour l'attaquant des Coyotes, ce fut une expérience pour le moins humiliante. Une rencontre avec un fan, une simple demande d'autographe, et puis ces mots cinglants, lancés comme des flèches empoisonnées : "Je suis content que le CH ait choisi Juraj Slafkovsky à ta place."
Ouch. Ces mots avaient le pouvoir de geler l'instant, de figer le sang dans les veines de Logan. Le visage impassible, il a signé l'autographe, réprimant l'envie de répliquer, de laisser échapper sa colère.
On peut voir dans son visage qu'il tente de garder son calme, mais qu'il est affecté mentalement.
Celui qui a joué un tour à Cooley a du culot et un certain courage. Il voulait vraiment lui mettre au visage que plus personne ne regrette la décison de Nick Bobrov au Québec. Du côté de Cooley, c'était un mélange de stupeur et d'incrédulité.
Logan Cooley a trouvé une leçon précieuse : que parfois, c'est dans les moments les plus sombres, les plus amers, que se cachent les enseignements de la résilience, de la persévérance, et surtout, de l'humour.
Dans tous les cas, il aura une anecdote divertissante à raconter lors des soirées entre amis...