Je suis outré. Sous le choc. Ce qui s’est produit au cours des dernières heures dépasse l’entendement et devrait sonner l’alarme dans toute société qui se prétend civilisée.
Charlie Kirk, militant conservateur américain, figure influente à seulement 31 ans, a été lâchement assassiné d’une balle dans le cou alors qu’il donnait une conférence devant des centaines de personnes à l’Utah Valley University.
Le drame s’est déroulé en pleine tournée American Comeback. Le père de deux enfants a perdu la vie dans l’horreur et le sang, sous les yeux d’un public terrorisé.
Et pourtant, au Québec, certains trouvent le moyen de rire, de se réjouir, de célébrer. Oui, vous avez bien lu : célébrer.
À Qub Radio radio, le chroniqueur Francis Gosselin a osé tourner ce drame en dérision.
L'animateur Richard Martineau rit aux larmes, comme si la mort violente d’un père de famille était matière à divertissement.
Comme si, au nom de divergences idéologiques, on pouvait se permettre d’applaudir un meurtre politique. C’est inacceptable.
On peut être en désaccord profond avec les idées de Charlie Kirk, mais se réjouir de son assassinat, c’est franchir une ligne rouge. C’est cracher sur les principes les plus élémentaires d’humanité et de décence.
Francis Gosselin devrait être congédié, point final. Dans n’importe quelle société normale, un tel comportement serait immédiatement sanctionné. Comment faire confiance à une voix publique qui rit de la mort violente d’un père de famille sous prétexte qu’il ne partage pas ses valeurs?
Mais le pire était encore à venir. L’actrice Catherine Brunet a sauté dans l’arène médiatique en publiant une story où elle célébrait avec un enthousiasme débordant l’assassinat de Charlie Kirk.
« Oh my god, yes, let’s go girl », pouvait-on lire, accompagné de réactions euphoriques.
Oui, une personnalité publique subventionnée, mise en avant comme modèle par l’industrie culturelle québécoise, a choisi de manifester sa joie devant une mort violente. Une mise à mort qui laisse derrière elle deux jeunes enfants privés de leur père.
Cette dérive est tout simplement à vomir.
Imaginez deux secondes l’inverse : un acteur ou une actrice du Québec qui se réjouirait publiquement de la mort d’une figure de gauche.
Que se passerait-il? La réponse est claire : cette personne serait immédiatement cancellée, exclue des plateaux, crucifiée sur la place publique.
Pourquoi donc Catherine Brunet aurait-elle droit à un traitement différent? Pourquoi certains peuvent-ils impunément glorifier la violence politique lorsqu’elle vise un adversaire idéologique?
Il s’agit d’une hypocrisie insoutenable.
Rappelons qui était Charlie Kirk. Fondateur de Turning Point USA à seulement 18 ans, il avait su mobiliser des millions de jeunes Américains autour de valeurs conservatrices.
Ses conférences attiraient des foules. Ses vidéos, partagées par des millions d’abonnés, faisaient de lui l’une des voix les plus influentes de la droite américaine.
Il était critiqué, bien sûr. Ses positions sur les personnes transgenres, sur l’immigration, sur la religion, divisaient profondément. Mais il était aussi un père de deux jeunes enfants. Un mari. Un homme de 31 ans dont la vie a été fauchée par une balle, dans une scène digne d’un cauchemar.
Même ses adversaires politiques ont condamné le meurtre. Gavin Newsom, gouverneur démocrate de Californie, a parlé d’un « acte dégoûtant et répréhensible ».
Le premier ministre canadien, Mark Carney, a dit sa consternation et rappelé que rien ne justifie la violence politique.
Pourquoi, alors, ici, au Québec, certains trouvent-ils normal d’applaudir?
Ce qui choque, au fond, c’est cette banalisation de la haine. On ne parle plus seulement de désaccords idéologiques.
On ne parle plus de débats musclés, de critiques cinglantes. On parle d’êtres humains qui se réjouissent ouvertement de voir un autre être humain assassiné, parce qu’il ne pensait pas comme eux.
Quand Francis Gosselin rit, quand Catherine Brunet jubile, ils valident la violence comme mode d’expression politique.
Ils légitiment l’idée que tuer un adversaire peut être « une bonne chose ». Ils nourrissent un climat toxique où la haine devient acceptable, voire applaudie.
Heureusement, la majorité du public a réagi avec vigueur. Sur les réseaux sociaux, Catherine Brunet est prise d’assaut. Des milliers de messages dénoncent son comportement. Les Québécois sont sous le choc :
« Aucune mort ne devrait être célébrée, qu’importe les opinions ».
« C’est carrément une glorification de la violence », écrit une internaute, en ajoutant que Brunet mérite bien plus d’être cancellée que d’autres artistes déjà sanctionnés pour des propos bien moins graves.
« Personne ne mérite de mourir pour des opinions », résume un autre.
Ces voix rappellent une vérité universelle : rien, absolument rien, ne justifie de se réjouir de la mort violente d’un être humain.
Le meurtre de Charlie Kirk met en lumière les fractures profondes qui déchirent nos sociétés. Mais la réaction ignoble de certaines personnalités québécoises révèle autre chose : une maladie morale, une incapacité à reconnaître l’humanité de ceux qui pensent différemment.
Quand la haine devient spectacle. Quand la mort devient une occasion de rire. Quand des personnalités publiques cautionnent l’inhumanité la plus crasse. Alors oui, il y a un problème. Un problème qui dépasse la politique. Un problème qui touche au cœur même de nos valeurs collectives.
Il est urgent de rétablir une ligne claire : on peut critiquer, débattre, dénoncer, mais on ne célèbre pas un assassinat. On ne rit pas d’un meurtre. On ne se réjouit pas qu’un père de famille laisse deux enfants orphelins.
Francis Gosselin et Catherine Brunet devraient avoir honte. Ils devraient présenter des excuses publiques. Et leurs employeurs devraient se poser une question simple : veut-on confier un micro ou une vitrine à des gens capables d’une telle indécence?
Car ce n’est pas seulement une question de liberté d’expression. C’est une question de responsabilité morale.
L’assassinat de Charlie Kirk est une tragédie. Mais le véritable scandale, au Québec, c’est la réaction de certaines figures publiques qui ont choisi de transformer ce drame en motif de réjouissance.
Il faut le dire sans détour : c’est une honte. Une honte nationale. Et un avertissement. Car si nous acceptons que la mort devienne spectacle, si nous tolérons que la haine triomphe de la décence, alors nous ouvrons la porte à des dérives encore plus graves...