Les fêtes de Laval sont trop intenses.
Selon les révélations croustillantes de Jean Trudel, du balado Stanley25, les jeunes du Rocket de Laval peuvent parfois déraper solide, transformant la nuit en une véritable aventure où tous est permis.
Comparés aux joueurs de la LNH à Montréal, ces jeunes Lavallois incarnent le concept de party sans limite. Disons que les fêtes sont bien plus excitantes que celles des joueurs de la LNH à Montréal, et cela pour des raisons multiples.
Jeunes, célibataires, et moins soumis à la rigueur de l'encadrement, les jeunes de Laval sont plus libres. Bref, garder Joshua Roy au du CH pour qu'il continue de s'adapter au rythme de la LNH, est la décision à faire.
Même si le renvoyer à Laval pour qu'il guide le Rocket dans sa quête des séries éliminatoires est tentant, il est clair que le garder à Montréal est mûrement réfléchie par les dirigeants de l'équipe.
Finalement, le CH a opté pour la stabilité, décidant de conserver Roy dans son alignement pour le voyage de cinq matchs étalés sur douze jours.
Une décision dictée avant tout par les brillantes performances du Québécois, qui dépasse toutes les attentes malgré son statut de choix de cinquième ronde.
Pour l'organisation, l'expérience de la LNH s'avère être le terrain idéal pour l'éclosion du talent de Roy, bien plus enrichissante que celle que pourrait offrir une course aux séries à Laval.
Chaque instant passé sur la glace, que ce soit au Centre Bell ou à l'extérieur, contribue à forger le caractère et le talent du Québécois.
Surtout, à Montréal, il est encadré, loin des la vie nocturne intense de Laval. À Laval, l'encadrement est moindre, pour ne pas dire inexistant, offrant aux jeunes une marge de manœuvre plus grande pour s'adonner à leurs folies.
Alors que le Rocket de Laval a désespérément besoin de lui dans la course aux séries, le garder à Montréal était la bonne décision.
Chapeau aux dirigeants du CH...