Le fils de Mike Ribeiro ne lui ressemble pas PANTOUTE!!!!!

Le fils de Mike Ribeiro ne lui ressemble pas PANTOUTE!!!!!

Par Nicolas Pérusse le 2022-08-15

- AYOYE...

- Le fils de Mike Ribeiro ne lui ressemble pas PANTOUTE!!!!!

- Et il ne parle pas FRANÇAIS!!!!

"Ma mère ne voulait pas que je sois vacciné. Je devrai avoir une discussion avec elle pour voir si je reçois une dose pour ne plus m’en faire avec les quarantaines" affirme Noah Williams-Ribeiro, qui a dû rater le camp des recrues des Olympiques l'an passé à cause de son statut vaccinal.

- Son père est présent à Gatineau pour l'observer.

Je crois que sa mère ne voulait pas trop l’envoyer et on a décidé de le laisser grandir en maturité. C’est plus facile pour lui à 17 ans,

 Il va avoir 18 ans en janvier. Comme parent, tu sais, tu peux donner ton opinion, mais à la fin c’est sa décision. C’est lui qui a décidé de venir cette année. On va l’appuyer dans ce qu’il veut faire.

C'est un joueur différent de ce que j’étais. Il est un peu plus gros et peut jouer à l'aile. Je le vois comme un power forward. Je sais qu’ils ont beaucoup de talent à l’attaque, mais si les Olympiques veulent un gars qui est capable de frapper et qui peut jouer devant le filet ça peut être un bon match. C’est un bon passeur aussi.

« Je crois que je suis plus nerveux que lui. J’étais pareil quand j’étais dans les gradins. J’étais plus nerveux que lorsque je jouais. C’est une grosse journée pour lui. »

- Son fils est CONFIANT...

Je veux montrer que je suis assez bon pour jouer à ce niveau. Je suis ici pour un poste. C’est mon année de repêchage et je veux démontrer que je peux l’être afin de poursuivre au prochain niveau.

Je dois bien performer cette semaine. J’ai une belle opportunité ici. L’aréna est superbe et les gens m’ont bien accueilli. Je veux bien faire, récolter des points et garder une belle attitude pendant que je suis ici

J’ai grandi avec plus d’attention puisque c’est mon père. Je suis habitué aux comparaisons. Je dois juste rester calme, faire mes trucs et ne pas m’en faire, conclut Noah, qui veut se faire un prénom dans la LHJMQ.

J'aurais aimé parlé français, mais c'est la faute de mon père qui ne me l'a jamais appris..."