Jonathan Marchessault, le joueur étoile des Golden Knights de Vegas, n'est pas étranger à faire "flasher son argent.
Avec son style flamboyant, que ce soit en conduisant sa Lamborghini ou en affichant son amour pour le "cash", il ne fait aucun compromis quand il s'agit de ses aspirations financières.
Et maintenant, alors qu'il se trouve sur le point de tester le marché des agents libres, il n'a aucune intention de donner un rabais à qui que ce soit.
Pour Marchessault, c'est simple : l'argent parle. Il admet sans détour être "cash oriented" et avoir toujours été motivé par des rétributions généreuses.
C'est une mentalité qui a façonné sa carrière et qui continue de guider ses décisions. Alors que certains pourraient rechercher la stabilité ou le prestige d'une équipe particulière, Marchessault se concentre sur la maximisation de ses gains.
Cela signifie que même son équipe actuelle, les Golden Knights, ne bénéficiera pas d'une réduction de sa part. Malgré leur succès sur la glace et leur statut de prétendants au championnat, Marchessault n'est pas prêt à sacrifier ses propres intérêts financiers pour le bien de l'équipe.
Et encore moins le Canadien de Montréal, une équipe qui a une longue histoire mais qui ne peut pas rivaliser avec les offres qu'il espère recevoir sur le marché des agents libres.
Dans ses propres mots, "les chiffres sont ce qu'ils sont... c'est à eux de décider s'ils me valorisent."
Pour Marchessault, c'est une question de valeur personnelle et financière. Il a atteint un point de sa carrière où il veut être récompensé à sa juste valeur, peu importe où cela le mène.
Et pour l'instant, cela signifie qu'il met en veilleuse tout attachement émotionnel à une équipe ou à une ville, et qu'il se concentre sur ce qui compte le plus pour lui : gagner et être payé.
Bien que Jonathan Marchessault puisse afficher une attitude porté vers l'argent en matière de négociations contractuelles, cela ne signifie pas qu'il n'est pas attaché émotionnellement à Vegas.
Au contraire, après avoir passé plusieurs saisons avec les Golden Knights, il a développé des liens profonds avec la ville, l'équipe et les fans. Son énergie sur la glace et son engagement envers la communauté en sont des témoignages éloquents.
Cependant, malgré cet attachement, il est difficile de ne pas ressentir une pointe de tristesse dans les paroles de Marchessault.
Le fait de voir sa situation contractuelle se diriger vers une issue incertaine peut être un poids émotionnel. Après tout, il a donné son maximum sur la glace pour Vegas, espérant peut-être être récompensé par une prolongation de contrat anticipée. Le fait que cela ne se soit pas concrétisé peut laisser un sentiment de déception.
Marchessault pourrait se sentir sous-évalué ou sous-estimé malgré ses performances exceptionnelles. Ce sentiment de ne pas être pleinement apprécié peut être difficile à porter, même pour un joueur aussi talentueux et confiant.
Ainsi, derrière sa façade de détermination financière, on peut percevoir que son cœur est brisé, une déception face à une opportunité manquée de renforcer son lien avec l'équipe et la ville qu'il a appris à apprécier.
Malgré tout, Marchessault est un compétiteur. Il sait que dans le monde du hockey professionnel, les affaires doivent parfois passer avant les émotions.
Alors qu'il se prépare à explorer ses options sur le marché des agents libres, il est déterminé à obtenir ce qu'il estime mériter. Mais en même temps, il ne peut s'empêcher de ressentir de l'amertume envers une situation qui aurait pu être différente.
Pourrait-il être porté moins vers les billets verts? Absolument. Surtout qu'on l'aurait vu dans l'uniforme du Canadien de Montréal.