Phil Danault est submergé par un cauchemar qui semble ne jamais prendre fin. Son périple au sein des Kings de Los Angeles contre les Oilers d'Edmonton a été une série de défis, à la fois physiques et tactiques, qui l'a plongé dans un trou de frustration et de désespoir.
Dès le début, les ennuis ont commencé.. Avec deux doigts cassés, Danault s'est retrouvé sur la glace, confronté à la douleur constante physique, mais aussi le calvaire de se faire humilier par Connor McDavid à chaque présence.
Il faut lui donner ça. Il a continué à se battre pour son équipe, mais sans succès. Et Danault ne le savait pas encore, mais ses ennuis ne font que commencer.
Même son courage et sa détermination n'ont pas suffi à renverser la marée contre les Oilers. Chaque passe, chaque tir est une lutte, chaque mouvement était un rappel de ses doigts cassés.
Pourtant, ce n'est là que le début des tourments de Danault. Alors qu'il lutte sur la glace, le monde autour de lui commence à s'effondrer.
Les Kings annoncent qu'ils abandonnent le système 1-3-1, conçu spécifiquement pour s'adapter à ses talents défensifs. La trappe défensive, qui était sa forteresse, sa zone de confort, est désormais reléguée au passé.
Cette décision a des implications dévastatrices pour Danault. Non seulement perd-il la structure qui a été taillée sur mesure pour lui, mais les Kings se tournent également vers un style de jeu plus offensif.
Dans ce nouvel environnement, ses compétences défensives, bien qu'appréciées, semblent désormais moins pertinentes. Danault se retrouve comme un artisan dont l'outil principal a été retiré de ses mains.
Le ciel s'assombrit au-dessus de la tête de Danault. La perspective de la prochaine saison lui apparaît comme un véritable cauchemar.
Non seulement doit-il se rétablir de ses blessures physiques, mais il doit également naviguer dans un nouvel environnement où ses atouts semblent moins valorisés.
Pour Phil Danault, le chemin à parcourir semble sombre et incertain. Mais au fond de lui, brûle toujours la flamme de la résilience, l'espoir que peut-être, malgré tout, il pourrait surmonter ces épreuves et trouver un moyen de briller à nouveau sur la glace.
Mais ce sera sur le 3e trio. Il doit oublier son poste de 2e centre à vie...