La situation à Montréal prend une tournure catastrophique alors que l’hôtel Reine-Elizabeth a été la cible d’un vol spectaculaire, mettant une nouvelle fois la ville dans l’embarras sur la scène internationale.
Diffusée sur le Golf Channel, la nouvelle a provoqué des réactions outrées, soulignant que Montréal devrait avoir honte.
Des articles de la PGA, totalisant plus de 25 000 dollars, ont été dérobés au célèbre hôtel durant la fin de semaine, un coup dur pour l’image de la métropole alors que la Coupe des Présidents s’apprête à se tenir au club de golf Royal Montréal.
Ce vol n’a rien à voir avec la mairesse Valérie Plante, souvent critiquée pour des incidents similaires, mais il alourdit encore la mauvaise presse pour Montréal et le Québec.
Une plainte a été déposée au SPVM, alors que les détails de l’incident commencent à émerger. Selon les informations disponibles, un individu aurait subtilisé des vêtements officiels du tournoi dans une valise vendredi soir.
De manière audacieuse, le voleur serait revenu le lendemain, portant les vêtements volés, pour dérober encore plus d’articles de grande valeur, notamment des polos, des casquettes et des chaussures destinés aux joueurs de la Coupe des Présidents.
Le tout s’est déroulé alors que les agents de sécurité de l’hôtel étaient en grève, facilitant ainsi l’opération.
Bien que les organisateurs de la Coupe des Présidents n’aient pas encore réagi officiellement, l’incident jette une ombre sur cet événement prestigieux, qui devrait générer des retombées économiques de près de 60 millions de dollars pour Montréal et le Québec.
La ville, déjà sous pression pour éviter d’autres fiascos comme celui du Grand Prix, devra redoubler d’efforts pour regagner la confiance des instances internationales et des amateurs de golf.
Dans ce contexte, la gestion de la sécurité à l'hôtel et l’absence de la mairesse lors d’événements clés de la Coupe des Présidents posent question.
Alors que Montréal s’efforce de se présenter comme une ville dynamique et accueillante pour les grands événements sportifs, ces incidents pourraient nuire à son attractivité future.
On dirait que l'absence remarquée de la mairesse Valérie Plante lors d'un événement majeur en marge de la Coupe des Présidents a porté malchance.
Cet événement, qui s’est déroulé au centre-ville de Montréal pour le lancement du « Village des partisans », était un moment clé pour promouvoir la ville et célébrer l’arrivée de la prestigieuse compétition de la PGA.
Le fait que la mairesse ait « levé le nez » sur cette occasion envoie un message négatif.
En effet, au lieu de se présenter aux côtés des dignitaires tels que la ministre du Tourisme, Caroline Proulx, et des représentants du gouvernement fédéral, Valérie Plante a choisi de déléguer sa présence à une conseillère de Lachine, Vicki Grondin.
Cela a soulevé des critiques, notamment de la part de Serge Sasseville, conseiller de l’arrondissement Ville-Marie, qui a pointé du doigt l’importance de la Coupe des Présidents pour Montréal.
Il a déploré que la mairesse n’ait pas saisi l’opportunité de montrer son soutien à cet événement d’envergure internationale, déclarant que « ce n’est pas un petit tournoi de miniputt ».
Cette absence est d’autant plus notable que Montréal bénéficie d’importantes retombées économiques avec cet événement.
De plus, la Coupe des Présidents attire l’attention internationale sur la ville, ce qui en fait une occasion stratégique pour valoriser Montréal sur la scène mondiale.
Plante a préféré assister à une conférence de presse sur l’École nationale de l'humour, reléguant ainsi ce moment crucial au second plan, et suscitant ainsi l'incompréhension de plusieurs acteurs politiques et économiques.
Cet incident, bien que différent du vol survenu à l’hôtel Reine-Elizabeth, contribue à ternir l'image de la ville à un moment où Montréal aurait pu briller.
Pour la deuxième fois en peu de temps, la gestion de l’administration municipale est perçue comme inadéquate face à des événements de grande envergure.
Il s'agit du deuxième évènement international qui détruit la réputation de Montréal, après le fiasco du Grand Prix, où des problèmes de circulation et de gestion avaient déjà terni la réputation de la ville.
Reste que pour une fois, il fait l'avouer. La mairesse n'est aucunement coupable de ce fameux vol malaisant qui met à mal la réputation de Montréal.
Valérie Plante est simplement malchanceuse. Ou elle crée sa propre malchance.