Elle a été retrouvée.
Après des mois de chaos, de rumeurs, de nuits mouvementées, de murmures dans les loges VIP et fêtes endiablées volées dans le penthouse de Griffintown, la blonde de Cole Caufield est de retour dans sa vie selon le journaliste du balado Stanley25, Maxime Truman,
Oui, Abby est revenue. Cette bombe a été larguée dans l'extrait vidéo suivant:
Et dans l’univers du Canadien de Montréal, cette réapparition a tout d’un petit miracle. Parce qu’avant d’être une star, Cole Caufield est un être humain. Et l’homme venait de toucher le fond. Mais aujourd’hui, il pourrait bien remonter vers la lumière.
Il y a un an, Cole Caufield semblait perdu.
Son talent était intact, son sourire ravageur toujours là, mais l'innocence d'autrefois, elle, s'était envolée sous les projecteurs cruels de la célébrité montréalaise.
Son parcours de jeune homme rangé, fidèle à sa blonde d'université nommée Abby, avait déraillé dans les virées nocturnes de Griffintown, les penthouses débridés et les rumeurs croustillantes qui faisaient la manchette autant sur les sites à potins que dans les médias traditionnels.
On disait que Christian Dvorak, son colocataire, était son complice dans ces soirées là. Que le duo, bien loin de l'image de professionnels exemplaires, organisait des fêtes privées pour éviter les regards indiscrets, après que le grand Réjean Tremblay les eut repérés dans un bar.
Des noms ont circulé, des femmes OnlyF, des conquêtes... La soeur de Catherine d'Occupation Double. Alexandra, notamment, l'avait avoué candidement : fréquenter un joueur du Canadien était sur sa bucket list, et elle avait réussi avec Caufield.
Des anecdotes relayées sur Stanley25, balayées du revers de la main par certains journalistes traditionnels comme Luc Gélinas, qui préfèrent accuser les sites alternatifs pour les humeurs noires de Caufield.
Mais voilà. Contre toute attente, alors que tout le monde pensait que Caufield s'était perdu à jamais dans sa vie sentimentale et que sa production offensive fléchissait dangereusement – il s'est passé quelque chose de bouleversant : Abby est revenue.
Oui, l'ancienne blonde d'université de Cole Caufield, celle qui l'avait accompagné dans ses premiers pas au Wisconsin, celle qui était sa paix, sa stabilité, son refuge... est de retour.
@canadienshabs22 Cole Caufield et son ex Abby 😍🥰 , soyez pas jalouses 😁#colecaufield #canadiensdemontreal #habs #canadiensmontreal #Amour #amoureux ♬ Tomber amoureux (1er amour) - Evan et Marco
Bravo à Maxime Truman qui a vendu la mèche. Le 17 mars dernier, Abby figurait sur la photo officielle des conjointes des joueurs du Canadien. Preuve indéniable que le couple s'est réconcilié.
Et soudainement, tout fait sens. Le regard de Cole s'est adouci. Son sourire est redevenu sincère. Ses réponses en entrevue ne sont plus celles d'un homme qui tente de convaincre le monde qu'il va bien. Il va mieux. Il va même très bien.
Dans un monde où les jeunes millionnaires sont engloutis par la nuit, les apparences et les flatteries superficielles, Cole Caufield a retrouvé ce qui compte vraiment : l'équilibre, l'amour, la normalité.
Le hockey est une passion, un métier, mais sans ancrage, sans stabilité, même les plus talentueux peuvent fléchir. Le CH aurait pu l'entourer de sécurité, de conseillers, de surveillants. Mais c'est l'amour qui l'a récupéré.
Et aujourd'hui, le message est clair : Abby l'a ramené à lui-même. Il n'est plus ce jeune homme perdu dans la jungle de Griffintown, pris entre les selfies et les shooters.
Il est redevenu Cole, le petit gars de Stevens Point, le tireur d'élite du CH, mais surtout, un homme qui retrouve sa voie.
Les prières ont été entendues. Abby a été retrouvée. Et avec elle, peut-être que Cole Caufield retrouvera aussi ses 40 buts par saison.
Et cette fois, pas besoin de fuir dans un penthouse. Il a tout ce qu'il lui faut, juste à côté de lui.
Car au-delà des buts, des passes, des statistiques et des analyses vidéo, il y a l'humain. Il y a un cœur qui bat derrière ce chandail numéro 22.
Un cœur qui a déjà été brisé. Un jeune homme qui a vu son nom traîné dans la boue, qui a été ridiculisé, analysé, disséqué, moqué pour sa vie sentimentale, pour ses fréquentations, pour ses photos floues dans un penthouse de Griffintown.
On a voulu le réduire à un cliché de joueur de hockey millionnaire en pleine dérive. Mais aujourd’hui, il impose un autre récit.
Et si la vraie victoire de Cole Caufield, ce printemps, ne se mesurait pas qu’en buts ou en points ? Et si la rédemption passait d’abord par un regard, un câlin retrouvé, une stabilité sentimentale qui lui donne enfin les moyens d’être lui-même ?
Il ne s’agit pas d’un retour vers le passé, mais bien d’un pas en avant. Vers la maturité. Vers la paix d'esprit.
Ce que le Canadien de Montréal vient peut-être de gagner, sans même le savoir, c’est la meilleure version de Cole Caufield.
Un jeune homme qui a retrouvé son équilibre, sa flamme intérieure, et redevenu ce franc-tireur d’élite capable de faire lever le Centre Bell. Mais cette fois, avec une force tranquille. Avec quelqu’un à ses côtés pour lui rappeler qui il est vraiment, quand les tempêtes reviennent.
Derrière chaque grand homme se cache une femme. Prochaine étape: une bague au doigt.