Kirby Dach s'effondre devant nos yeux: ça sent la fin

Kirby Dach s'effondre devant nos yeux: ça sent la fin

Par David Garel le 2024-12-23

Encore une fois, Kirby Dach est au centre des critiques.

Alors que le Canadien de Montréal s’est incliné 5-4 dans un match serré, les regards se tournent vers lui pour une série d’occasions manquées qui auraient pu changer l’issue de la rencontre.

Dach, incapable de convertir trois chances en or face à des filets déserts, devient le bouc émissaire d’une soirée frustrante pour les partisans.

Dach est dans une spirale descendante, et cela devient difficile à ignorer. À chaque match, il semble plus lourd, plus hésitant.

Son différentiel catastrophique de -24 ne fait qu’amplifier les murmures sur son incapacité à remplir son rôle de deuxième centre. Ce soir, ses ratés ont coûté cher au Canadien, et les réseaux sociaux ne l’ont pas épargné.

« Même mon chien aurait marqué dans un filet désert! Dach est une honte, on aurait dû le laisser à Chicago » 

Le sarcasme et les moqueries s’enflamment, et Dach, déjà fragilisé par une confiance en lambeaux, devient une cible facile pour les partisans frustrés. 

Chaque erreur est amplifiée, chaque occasion manquée est une preuve supplémentaire pour ceux qui veulent le voir quitter Montréal.

Si Kirby Dach échappe pour l’instant aux critiques les plus acerbes concernant son salaire, c’est uniquement grâce à la prudence de Kent Hughes. 

Signé à un contrat de 4 ans d’une valeur de 3,362 M$ par saison, Dach n’est pas un poids financier insurmontable pour le Canadien.

Mais cette réalité n’apaise pas la colère des partisans, qui voient en lui un joueur incapable de justifier même ce montant modeste.

La vraie question, toutefois, n’est pas son salaire. C’est son avenir. Avec un rendement aussi décevant et une incapacité chronique à élever son jeu dans les moments cruciaux, l’avenir de Dach à Montréal semble de plus en plus incertain.

Hier soir n’était qu’un exemple parmi tant d’autres. Dach, qui devait être une pierre angulaire du plan de reconstruction du Canadien, n’arrive pas à trouver son rythme.

Les ratés face au filet désert ne sont pas qu’une statistique; ils sont devenus un symbole de son passage à vide.

Chaque occasion manquée est un rappel cruel de ce qu’il aurait dû être : un centre dominant, capable de dicter le jeu et de prendre en charge les responsabilités offensives.

Mais la réalité est tout autre. Dach n’est pas ce joueur. Il est lent à réagir, hésitant dans ses décisions, et incapable de capitaliser sur des opportunités que tout joueur dans sa position devrait convertir.

Avec un contrat qui court jusqu’en 2026, Dach dispose encore de temps pour redresser la barre. Mais à ce rythme, beaucoup se demandent si le Canadien n’aura pas hâte de tourner la page.

En 2026, lorsqu’il deviendra agent libre, le Canadien aura l’opportunité de se libérer de cette expérience qui, jusqu’à présent, a été un échec cuisant.

« L’avenir de Dach n’est pas à Montréal. »

Ce sentiment, partagé par une part croissante des partisans, devient difficile à ignorer. Le marché montréalais, impitoyable avec ses joueurs, ne pardonne pas les erreurs répétées.

Dach a été accueilli avec espoir; il est maintenant toléré comme un vulgaire plombier.

Alors que la tempête gronde autour de lui, Kirby Dach semble de plus en plus isolé. Les réseaux sociaux continuent de s’acharner, les critiques des médias se font de plus en plus vives, et même son entraîneur Martin St-Louis a exprimé des frustrations voilées.

Dach, pourtant plein de talent brut, n’a pas réussi à gagner la confiance ni de son équipe, ni de ses partisans.

Si le match de ce soir est une indication de ce qui est à venir, il est difficile de voir comment cette relation pourrait être réparée.

Pour Dach, le temps semble jouer contre lui, et chaque match devient une audition non pas pour prouver qu’il peut exceller à Montréal, mais qu’il mérite encore une place dans la LNH.

Kirby Dach n’a pas seulement raté trois filets déserts hier soir; il semble être en train de rater sa chance à Montréal.

Les critiques, bien que parfois exagérées, reflètent une frustration légitime envers un joueur qui n’a pas livré la marchandise.

Avec un contrat raisonnable qui prend fin en 2026, le Canadien pourrait bien se préparer à tourner la page sur ce qui restera comme l’un des échecs les plus retentissants de l’ère Kent Hughes.

Dach n’a pas su saisir sa chance, et à moins d’un revirement spectaculaire, son avenir à Montréal est plus sombre que jamais.

Il est temps pour Dach de relever la tête, de répondre aux critiques sur la glace.

Sinon, 2026 pourrait arriver bien plus vite qu’il ne le croit, et avec elle, la fin de son aventure dans l’un des marchés les plus exigeants du hockey.

Après une nouvelle soirée frustrante pour Kirby Dach, les déclarations du jeune centre des Canadiens de Montréal laissent transparaître un mélange de résignation et d’efforts désespérés pour garder la tête haute. 

Son commentaire ironique sur l’idée de tirer de la gauche, lui qui est droitier, illustre bien l’état d’esprit d’un joueur perdu dans une spirale de doutes et de contre-performances.

« Peut-être que je devrais tirer de la gauche… » a-t-il blagué après le match, dans une tentative maladroite de masquer une frustration qui devient de plus en plus évidente.

Avec un maigre total de huit points en 27 matchs, Dach semble porter le poids de toutes les attentes déçues sur ses épaules.

Trois occasions manquées devant un filet désert hier soir n’ont fait qu’ajouter à sa détresse. Pourtant, dans ses propos après le match, Dach a tenté de faire bonne figure, affirmant qu’il devait rester positif et continuer à travailler pour renverser la situation :

« Ce n’est pas une bonne sensation. Mais tu ne peux pas abandonner, tu dois continuer à faire ce que l’équipe te demande pour l’aider à gagner. »

Il est clair que le joueur se bat contre lui-même, essayant de trouver un équilibre entre la persévérance et le doute qui l’habite.

Dach a également souligné l’importance du soutien collectif au sein de l’équipe, affirmant que le groupe restait uni dans l’adversité :

« On est assez proches dans ce vestiaire pour s’entraider quand quelqu’un traverse une période difficile. Aucun homme laissé derrière. »

Cependant, ce soutien, bien qu’important, ne semble pas suffisant pour l’instant. Les opportunités étaient là hier soir, mais rien ne fonctionne pour Dach, et ses blagues ne font que mettre de l'huile sur le feu de la gravité de la situation.

Sa tentative d’humour sur le fait de tirer de la gauche a été perçue par certains comme un aveu d’impuissance. 

L’ironie cache mal une réalité brutale : Dach doute profondément de ses capacités. 

« Tu dois voir la lumière au bout du tunnel et tourner la page quand les choses ne vont pas dans ton sens, »a-t-il ajouté.

Mais la lumière, pour l’instant, semble bien lointaine. Et les partisans, eux, commencent à perdre patience, remettant en question l’avenir de Dach à Montréal.

À Montréal, où les attentes sont toujours élevées, Dach est devenu le symbole des espoirs déçus. 

Le joueur que Kent Hughes avait acquis pour solidifier le poste de deuxième centre n’arrive tout simplement pas à livrer la marchandise.

Ses ratés devant le filet hier soir ne sont qu’un épisode parmi tant d’autres dans une saison marquée par l’inefficacité et la frustration.

Avec un contrat qui court jusqu’en 2026, Dach a encore du temps pour redresser la barre. Mais chaque match où il échoue à produire renforce l’idée qu’il n’est peut-être pas la solution à long terme pour le Canadien.

Kirby Dach doit maintenant trouver un moyen de se reconstruire mentalement et de retrouver la confiance qui semble l’avoir abandonné.

Ses mots après le match montrent un joueur conscient de ses erreurs, mais qui ne sait pas encore comment les surmonter.

La lumière au bout du tunnel qu’il évoque, il devra la trouver par lui-même, avec ou sans l’humour qui masque à peine sa douleur.

Pour Dach, le temps de rire de ses ratés est terminé. Le moment est venu de prouver qu’il peut redevenir le joueur que tout le monde espérait.

Sinon, sa blague sur le tir de la gauche pourrait bien devenir le mot de la fin lorsqu'on se souviendra de son passage raté à Montréal.

Misère.