L'entrevue entre Cayden Lindstrom et Anthony Martineau de TVA Sports a révélé un message puissant qui résonne et qui envoie des frissons dans le dos de tous les fans du Canadien de Montréal.
Il évoque une détermination sans faille, une passion brûlante pour le hockey, et un engagement absolu envers son équipe.
Lindstrom incarne une nouvelle génération d'athlètes prêts à tout sacrifier pour atteindre l'excellence sur la glace. Il n'est pas seulement un monstre physique. Il est aussi un monstre dans sa tête.
Dès son jeune âge, Lindstrom a fait un choix déterminant entre le hockey et le baseball, optant pour le sport qui le passionnait le plus, avec la ferme intention de réussir.
Et réussir, il l'a fait. À seulement dix-sept ans, il est devenu l'un des espoirs les plus convoités du hockey, avec une base de fans grandissante qui voit en lui le potentiel pour devenir une légende. Pas pour rien qu'il est comparé à Éric Lindros.
Son intérêt pour les Canadiens de Montréal ne fait aucun doute. Ayant grandi en regardant les matchs de l'équipe, il comprend l'importance du Centre Bell et de ses partisans passionnés. Jouer pour les Canadiens serait un rêve devenu réalité pour lui, un honneur qu'il prendrait très au sérieux.
Mais ce qui distingue Lindstrom, ce n'est pas seulement son physique imposant ou ses statistiques impressionnantes. C'est son approche du jeu, sa polyvalence sur la glace et son caractère compétitif qui le rendent si redoutable.
En tant que joueur, il peut être aussi brutal que subtil dans sa finesse, aussi défensif qu'offensif. Il ne recule devant aucun défi et sait s'adapter à toutes les situations de jeu.
«Je peux jouer un match très physique et faire de l’espace à mes coéquipiers, mais je peux aussi jouer de finesse et avec rythme. Je me considère aussi impliqué défensivement.»
«Je suis aussi très, très compétitif.»
Malgré les questions sur sa santé, alors que les mauvaises langues le traitent de joueur fragile, Lindstrom reste concentré sur son objectif. Son agent, Dan Hermiston, jure que sa fragilité n'est pas un problème.
«Cayden va bien. Il s’entraîne sans restriction et intensément cinq jours par semaine en gymnase et ajoute aussi cinq séances sur la glace. Dans le cas de son dos, l’opération ne sera pas nécessaire. Nous avons opté pour des traitements de physiothérapie et des méthodes du genre et il roule à fond de train depuis quelques jours. Il n’y a pas d’inquiétudes à avoir au sujet de son état de santé.»
Il s'entraîne intensément, repoussant ses limites chaque jour pour devenir encore meilleur. Il ne se laisse pas distraire par les critiques ou les rumeurs, car il sait ce qu'il vaut et ce qu'il doit faire pour atteindre le sommet. Il ne se laisse pas déranger par ceux qui affirmant que son "Hockey IQ" est déficient.
«Pour être franc, je ne me préoccupe pas de ce que les gens disent à mon sujet. Je pense que j’ai une très bonne intelligence du jeu. Évidemment, il y a toujours place à quelque chose de mieux, mais ma vision est très aiguisée, selon moi. Je suis amplement capable de faire des jeux et je l’ai prouvé dans le passé.»
Son message comme quoi il veut jouer avec Juraj Slafkovsky fait peur. Imaginez ce duo monstrueux en séries. Imaginez comment leurs adversaires auraient peur.
«Je me verrais bien jouer avec Slafkovsky".
«Slafkovsky est un gros bonhomme comme moi, alors disons qu’on pourrait se faire pas mal d’espace, sur la glace! Sinon, Cole Caufield est tout un marqueur et il est aussi excellent pour créer des jeux.»
Nous en avons des frissons dans le dos. Le pire dans tout ça, c'est que Lindstrom veut prendre encore plus de masse musculaire. Il veut devenir encore plus rapide. Il veut devenir encore meilleur dans tous les compartiments du jeu.
«Je veux devenir encore plus fort! Je compte aussi travailler sur ma mobilité avec un entraîneur spécialisé en patinage et je consacrerai aussi plusieurs séances à l’amélioration de mon tir et de mes aptitudes avec la rondelle.»
Si le CH ne sélectionner pas premier ou deuxième, c'est Lindstrom qu'il nous faut. Sans aucun doute. Surtout quand on voit à quel point les séries sont robustes, Il nous faudra un monstre comme lui. En duo avec Slafkovsky, le CH deviendra la terreur de l'Amérique du Nord.
De quoi donner des sueurs froides dans le dos à toute la LNH...