Voilà de graves révélations sur Martin St-Louis dévoilées par TVA Sports.
Le coach du CH se retrouve au cœur d’un scandale grandissant, alors que TVA Sports vient de révéler le secret le plus mal gardé de Brossard.
Jacob Dobeš, le gardien du mois dans la LNH en octobre a été démoli de l’intérieur par un message public qui n’aurait jamais dû exister. E
Et ce message, personne d’autre que Martin St-Louis l’a livré, un matin de match, devant les caméras, avec une assurance qui paraît aujourd’hui complètement déconnectée de la réalité sportive du club.
Anthony Martineau l’a résumé sans détour, avec la précision chirurgicale qui fait mal :
« Le Canadien a une immense part de responsabilité dans ce qu’on vit en ce moment. Si on avait simplement laissé Dobeš surfer sur la confiance du mois d’octobre, si on avait respecté sa séquence, si on ne l’avait pas arrêté net pour redonner le filet à Montembeault, on n’en serait jamais rendu là. »
Et il a raison. Cette déclaration de St-Louis, où il affirmait que « peu importe ce qui va se passer, notre numéro un, c’est Montembeault », n’était pas seulement une erreur d’évaluation : TVA Sports la qualifie aujourd'hui d’erreur professionnelle majeure, le moment exact où l’organisation a planté un coin dans la psychologie de Dobeš, avant même que le jeune homme réalise qu’on venait d’enterrer sa progression.
Car ce qui frappe aujourd’hui, c’est la violence de la chute. Dobeš était en feu en octobre, irradiant d’une confiance presque contagieuse, enchaînant les départs solides, accumulant les victoires malgré la défensive poreuse devant lui. Il avait tout pour s’installer dans un rôle naturel de 1B évolutif, avec une progression logique.
Mais voilà que le coach, plutôt que de nourrir cette confiance, a publiquement réaffirmé qu’il ne s’agissait que d’un intérim, que Montembeault restait son homme, son choix, son projet, un message qui a résonné dans le vestiaire comme un couperet.
TVA Sports ne ménage personne :
« On a scrappé les deux », dit Martineau sans prendre de pincettes. On a détruit la confiance du jeune en le relayant sur le banc au moment même où il performait.
On a mis toute la pression sur Montembeault, qui s’écroulait déjà sous le poids de statistiques catastrophiques. Et aujourd’hui, le Canadien se retrouve avec deux gardiens ébranlés, incapables de stopper l’hémorragie, laissant la direction sans autre choix que de rappeler Jacob Fowler beaucoup trop tôt.
Mais le coup le plus brutal est venu de Jean-Charles Lajoie, qui n’a pas pris de détours pour dénoncer ce qu’il considère comme le premier vrai « fiasco de gestion » de Martin St-Louis à Montréal.
Il a rappelé que Dobeš n’a pas seulement été évincé du rôle de partant : il a littéralement été rétrogradé à un rôle de troisième gardien lors des entraînements, chassé de la patinoire en premier, comme un figurant qu’on replace en coulisses quand le vrai spectacle commence.
Ce traitement, totalement incompréhensible pour un joueur en ascension, a déclenché l’onde de choc dans le milieu médiatique. Pour la première fois, TVA Sports ne défend plus Martin. TVA Sports attaque. TVA Sports met en lumière une fracture.
Les journalistes parlent désormais ouvertement d’un « environnement toxique » devant le filet. Une gestion qui n’a pas seulement brisé Dobeš, mais qui a aussi précipité l’effondrement de Montembeault.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis le fameux matin où St-Louis a choisi son camp, le Canadien n’a pratiquement plus gagné à domicile.
Deux victoires depuis le 11 novembre, sept défaites, et surtout, un effondrement historique du duo Montembeault-Dobeš, qui a encaissé 42 buts dans cette séquence, contre seulement 20 du côté offensif. Montréal ne perd pas : Montréal s’écroule.
Et ce n’est plus un secret pour personne : l’arrivée de Fowler n’est pas un choix de développement. C’est un aveu. C’est le premier geste émotif posé par Gorton et Hughes depuis leur arrivée. Trois rappels en même temps (Engström, Beck, Fowler), le soir d’une autre humiliation. Un message brutal envoyé au coach, au vestiaire, au marché.
Seulement voilà : Fowler n’aurait jamais dû être ici maintenant. Il avait besoin de dix mois de plus. Il avait besoin de Laval. Il avait besoin du temps que Dobeš aurait dû recevoir, si seulement on avait respecté sa séquence.
Mais on a tout renversé. On a paniqué. On a cassé un jeune pour sauver un autre jeune, puis on a cassé le deuxième en essayant de réparer le premier. Un cercle vicieux qui ne laisse que des ruines devant le filet.
Les révélations de TVA Sports ne sont pas qu’un commentaire : ce sont les premiers coups de marteau qui fissurent la statue de Martin St-Louis dans les médias montréalais.
La lune de miel est terminée. L’immunité médiatique dont il a joui pendant deux ans s’effrite maintenant devant nos yeux. Et ce qui rend la situation explosive, c’est que l’organisation n’a plus d’argument solide pour défendre son coach.
Pas après ça. Pas après avoir brisé un gardien du mois. Pas après avoir détruit la structure d’un tandem. Pas après avoir rappelé un prodige trop tôt. Pas après avoir déclenché une panique à Brossard.
Ce que Jean-Charles Lajoie a dit ce matin résonne comme la phrase qui va revenir hanter cette saison :
« Le dossier des gardiens a été abominablement géré. Et aujourd’hui, on paie le prix. »
Les médias ont changé de ton.
La confiance interne a été ébranlée.
Et le marché sent qu’un point de rupture approche.
La révolution dans le filet du Canadien vient de commencer.
Et elle a commencé avec une vérité simple, brutale, dévoilée par TVA Sports :
Jacob Dobeš n’a pas été battu.
Jacob Dobeš a été brisé.
