Il y a une fébrilité et une agitation à Toronto, alors que Guy Boucher se rapproche de plus en plus du poste de coach en chef.
Avec les Leafs en quête de stabilité et de succès en séries éliminatoires, l'idée d'apporter du changement sur le banc semble de plus en plus inévitable.
Le rôle actuel de Boucher en tant que coach adjoint des Leafs n'est pas passé inaperçu, lui qui a construit un avantage numérique des plus puissants.
Alors que le coach en chef, Sheldon Keefe, semble perdre le contrôle de ses émotions, lui qui est aux prises avec des problèmes stratégiques et un manque de solutions, les partisans des Leafs appellent de plus en plus fort au changement.
Certains vont même jusqu'à qualifier Keefe de pire stratège de la ligue, soulignant ses difficultés avec un groupe tellement talentueux.
Dans ce contexte, Guy Boucher émerge comme une option séduisante. Son expérience passée en tant qu'entraîneur-chef, notamment avec les Sénateurs d'Ottawa où il a mené l'équipe en finale de la conférence en 2017, sans oublier qu'il a mené aussi le Ligthting et Martin St-Louis en finale de conférence avec le Lightning, prouve qu'il possède les compétences nécessaires pour réussir en séries éliminatoires.
Sa capacité à élaborer des stratégies originales et à motiver ses joueurs a été mise en évidence à maintes reprises.
Pour les partisans des Leafs, Boucher représente non seulement un changement nécessaire, mais aussi une lueur d'espoir.
Sa réputation de motivateur, de cerveau tactique et de leader charismatique laisse entrevoir la possibilité de tous les rêves pour les Leafs.
Si les Leafs continuent de s'enliser et de sous-performer, il apparaît de plus en plus clair qu'un seul choix s'offre à eux : nommer Guy Boucher comme coach en chef.
Les prochaines semaines pourraient être décisives pour l'avenir des Maple Leafs. Si aucun changement n'est opéré avant le début des séries éliminatoires, Toronto risque de revivre les mêmes déceptions que dans le passé.
Mais avec Guy Boucher à la barre, l'équipe pourrait enfin avoir la chance de toucher son rêve de toucher la Coupe Stanley.
À suivre...