L'inquiétude grandissante autour de Michel Bergeron suscite beaucoup de souci parmi ses collègues et ses proches.
Bergy semble de plus en plus marqué par une colère incontrôlable, une impatience palpable et une hargne déconcertante.
Ses récentes réactions visent tout ce qui bouge, même des personnalités respectées comme Nick Suzuki, le capitaine du Canadien de Montréal, qui a joué un rôle essentiel dans le monde du hockey à Montréal depuis longtemps.
L'annonce du refus de Nick Suzuki de participer au prochain Championnat du monde de hockey semble avoir particulièrement irrité Michel Bergeron, au point le voir agité.
Alors que certains considèrent ce tournoi comme secondaire, voire comme un simple "tournoi en carton", la réaction agressive de Bergy envers Suzuki laisse perplexe.
Pourquoi cette animosité envers un joueur aussi accompli et respecté que Suzuki ? C'est une question qui laisse de nombreux observateurs mal à l'aise et interloqués.
Contrairement à d'autres joueurs talentueux comme Cole Caufield des États-Unis et Juraj Slafkovsky de la Slovaquie, Suzuki a décidé de ne pas représenter son pays lors de ce tournoi qui débutera le 10 mai prochain.
Pour Michel Bergeron, cette décision est difficile à comprendre et à accepter. Selon lui, Suzuki aurait pu profiter de cette occasion pour acquérir de l'expérience supplémentaire et marquer des points en vue de compétitions futures telles que le Tournoi des quatre nations ou même les Jeux olympiques.
Dans ses interventions publiques, Michel Bergeron ne cache pas son exaspération :
"Quand je pense à de grands athlètes comme Alex Ovechkin, qui se précipitait pour rejoindre son équipe aux championnats mondiaux après l'élimination de son équipe... Et puis je vois Suzuki, et on me dit qu'il est fatigué. Fatigué de quoi ?" s'interroge-t-il avec frustration et agitation sur les ondes de TVA Sports.
Il souligne également le contraste avec d'autres grands noms du hockey, comme Sidney Crosby, qui, selon lui, envisagerait sérieusement de participer à ce tournoi.
Cette différence de réaction entre deux joueurs de calibre ne cesse de le perturber et de nourrir ses inquiétudes.
«J’ai entendu cette semaine que Sidney Crosby, si on lui demandait, il y penserait. Peux-tu imaginer que Crosby va au Championnat du monde, mais que Suzuki est fatigué? Est-ce qu’il y a quelque chose que je ne comprends pas dans ça?»
Il est indéniable que Michel Bergeron, avec son passé et sa compréhension profonde du monde du hockey, est particulièrement affecté par ces événements.
Son incompréhension et son agressivité croissantes laissent entrevoir des tensions internes qui mériteraient peut-être d'être explorées plus en profondeur.
Est-il temps que Bergeron prenne du recul et passe du temps pour relaxer et gérer sa gestion de colère?