Il aura suffi d’une fin de semaine explosive pour faire éclater une vérité que trop de gens préféraient ignorer depuis trop longtemps : Jacques Villeneuve avait raison sur toute la ligne.
Lance Stroll, enfant-roi devenu pilote de Formule 1 à coup de millions, est en train de s’écraser sous le poids de ses privilèges, de son arrogance et, surtout, de ses limites. Ce n’est plus un secret. Ce n’est plus un tabou. C’est une révélation brutale : Lance Stroll n’a rien à faire en Formule 1.
Le fils à papa se retrouve sous les projecteurs... encore pour les mauvaises raisons...
Jacques Villeneuve, seul champion du monde canadien de l’histoire, a été accusé pendant des années d’acharnement envers Lance Stroll. Mais ce que les médias appelaient de la jalousie ou de la méchanceté n’était en réalité que la lucidité froide d’un homme qui a vu clair dès le début.
« Lawrence a construit son propre circuit de karting pour son fils, qui était seulement à 15 minutes de marche de la maison. Néanmoins, Lance faisait le trajet chaque jour en hélicoptère. » avait affirmé Villeneuve d'un ton cinglant.
Villeneuve ne s'est jamais retenu. Il a raconté, entre autres, que le petit Lance, alors qu’il vivait dans le luxe le plus total, refusait de marcher 15 minutes pour aller s’entraîner sur une piste de karting spécialement construite pour lui par son père.
Non, monsieur faisait le trajet en hélicoptère. Parce que l’effort, c’est pour les autres. Le travail, c’est bon pour les pilotes sans papa milliardaire. Voilà le portrait que dresse Villeneuve de Lance Stroll : un pilote sans passion, sans flamme, parachuté dans le plus prestigieux championnat automobile du monde par caprice parental.
Et avec le recul, comment lui donner tort ?
On parle d'une carrière artificielle sur toute la ligne.
Depuis son arrivée en Formule 1 en 2017 chez Williams, Lance Stroll traîne comme un fardeau cette étiquette de “pay driver”.
Chez Racing Point, il a été incapable de rivaliser avec Sergio Pérez. Chez Aston Martin, il a été humilié par Sebastian Vettel… en pré-retraite. Et maintenant, il est totalement écrasé par Fernando Alonso, 43 ans, qui accumule les belles performances pendant que Lance cherche encore la ligne de course idéale.
Aucune étincelle, que des excuses et une attitude de plus en plus toxique.
Un comportement de diva qui dégénère et qui dérange de plus en plus.
Ce qui choque le plus, ce ne sont pas les résultats de Stroll. C’est son comportement. Ce masque de pilote poli et discipliné s’est fissuré, révélant un caractère arrogant, colérique, et carrément insultant envers ceux qui l’entourent.
Dernier épisode en date : le Grand Prix d’Espagne. Lance Stroll, furieux après une nouvelle élimination en Q2, a pété les plombs dans le garage d’Aston Martin. Selon la BBC, il a endommagé de l’équipement et insulté les mécaniciens. Un porte-parole a confirmé : « Lance était fâché. »
Ce n’était pas un incident isolé. En 2023 au Qatar, Stroll avait déjà été filmé balançant son volant, frappant un mur et se chamaillant physiquement avec un membre de son équipe. Il a dû s’excuser. Mais la vérité est dévoilée aujourd'hui.
Ce n’est plus un pilote en perte de confiance, c’est un enfant capricieux qui maltraite les gens autour de lui parce que, pour la première fois de sa vie, il ne contrôle plus rien.
Ce comportement commence à agacer. Et pas qu’à l’intérieur du garage. Les pilotes du paddock n’en peuvent plus.
Plusieurs d’entre eux, sous couvert d’anonymat, ont confié à divers médias que Stroll est un poids, une anomalie dans un sport où le mérite devrait primer. Il n’a pas sa place. Il ne la mérite pas. Et surtout : il ne la respecte pas.
Un membre d’une ancienne écurie qu’il a visitée, cité par F1-Insider, a été limpide :
« Je n’ai jamais vu un père aussi passionné, et un fils aussi indifférent. » Tout est dit.
Les mécaniciens n’en peuvent plus non plus. Stroll serait devenu invivable dans les garages. Il ne comprend pas les limites. Il insulte, il méprise, il exige. Il ne construit rien. Il détruit.
Lors du week-end du Grand Prix d’Espagne, Stroll a raté la course, officiellement en raison de douleurs au poignet. Mais ce forfait est survenu quelques heures seulement après sa crise de colère dans le garage. Officiellement, les deux événements ne seraient pas liés. Vraiment ?
Il a été opéré aux poignets par le passé. Il sera opété à nouveau. Il a souffert. Mais ce qu’on voit de plus en plus souvent, c’est un pilote instable émotionnellement, incapable de gérer la pression. Et surtout, incapable d’assumer.
Le même week-end, il a même ignoré les règles : il a omis de se rendre immédiatement aux balances après sa séance de qualification. Résultat : avertissement officiel de la FIA. Encore une fois, un pilote au-dessus des règles, ou qui croit l’être.
On parle d'une chute qui s’amorce depuis longtemps.
La vérité, c’est que Lance Stroll est en chute libre depuis 2020. Abandons, accrochages, COVID-19, mauvaise gestion, colère. À Mugello, à Sotchi, à Imola… c’était le chaos. Et ça ne s’est jamais vraiment amélioré depuis.
Il a même heurté un de ses mécaniciens pendant un arrêt aux puits. Un moment symbolique : Stroll fonce sans regarder, sans réfléchir, sans se soucier de ceux qui l’entourent.
Andrew Green, alors directeur technique de Racing Point, avait été honnête :
« Il n’est pas où il devrait être. Il a perdu confiance. Il est éprouvé mentalement et physiquement. » On était en 2020. On est en 2025. Rien n’a changé.
Ce que Jacques Villeneuve avait compris — et osé dire — bien avant tout le monde, c’est que Lance Stroll n’était pas un pilote, mais un projet marketing familial. Un rêve de milliardaire injecté à grands coups de millions dans un sport élitiste.
Lawrence Stroll n’a pas investi dans la F1 par passion. Il l’a fait pour donner à son fils une carrière qu’il ne pouvait pas obtenir par lui-même. Il a acheté une écurie. Il l’a reconstruite autour de Lance. Et malgré tout, la vérité s’impose, plus implacable que jamais :
Lance Stroll est une erreur. Une erreur coûteuse. Une erreur dangereuse.
Les murmures se font plus bruyants dans le paddock. Des investisseurs commencent à s’impatienter. Les performances d’Alonso soulignent, semaine après semaine, l’incompétence de son coéquipier. Et Aston Martin, qui rêvait de podiums, voit ses ambitions freinées par un seul homme : Lance Stroll.
Le sport évolue. Les jeunes talents frappent à la porte. Théo Pourchaire, Felipe Drugovich, Liam Lawson, Ollie Bearman : tous attendent une chance. Mais un baquet reste bloqué par un héritier capricieux, qui détruit tout ce qu’il touche.
Le paddock a tranché.
Ce n’est plus une opinion. Ce n’est plus une polémique. C’est un constat. Un consensus. Le paddock ne veut plus de Lance Stroll. Les pilotes ne le respectent pas. Les mécaniciens le redoutent. Les fans le méprisent. Et maintenant, même les patrons d’écurie commencent à hausser les sourcils.
Villeneuve ne l’a jamais dit par méchanceté. Il l’a dit parce que quelqu’un devait avoir le courage de pointer le mensonge. Et aujourd’hui, force est de constater qu’il avait raison sur tout.
Et aujourd'hui, l'ancien champion du monde annonce pratiquement la fin du bébé gâté:
« Vous me parlez de coéquipier, mais c’est le propriétaire ! N’oubliez pas que cette écurie a été rachetée pour Lance Stroll. »
« Mais il y a d’autres investisseurs dans l’écurie. C’est ça qui, à un moment ou un autre, pourrait avoir un effet. »
Lance Stroll est le symbole d’un sport parfois gangréné par l’argent. Mais plus pour longtemps. Car même les plus gros portefeuilles ne peuvent pas acheter la dignité. Ni le respect. Ni le talent.
Stroll sera-t-il encore sur la grille en 2026 ? Rien n’est moins sûr. Car cette fois, ce ne sont pas seulement les fans ou les médias qui grognent. C’est l’intérieur même du système qui se retourne contre lui.
Le roi est nu. Le masque est tombé. La farce est terminée.
Et Jacques Villeneuve, qu’on prenait pour un “hater”, s’avère être le seul à avoir vu clair depuis le tout début.