- Si on regarde le CV de Florence Schelling...
- Elle mérite bien plus d'être ENGAGÉ...
- Qu'Émilie Castonguay ou Danièle Sauvageau...
- La PRESSE le confirme...
En tant que gardienne de l’équipe nationale suisse, elle a participé quatre fois aux Jeux olympiques. Elle a remporté la médaille de bronze, en plus du titre de joueuse du tournoi, aux Jeux de Sotchi, en 2014. Recrutée par l’équipe nationale à l’âge de 13 ans, elle a aussi participé à 11 Championnats du monde et évolué quatre ans dans la NCAA, dans l’uniforme de l’Université Northeastern. Elle y a obtenu un baccalauréat en administration, avant d’obtenir une maîtrise en stratégie et gestion d’organisations internationales à l’Université de Linköping, en Suède. Après son passage en NCAA, elle a été repêchée par les Stars de Montréal, dans la Ligue canadienne de hockey féminin.
Après ses études, elle a aussi travaillé pour la Fédération internationale de hockey sur glace, en plus de devenir entraîneuse pour l’équipe nationale féminine suisse des moins de 18 ans.
Maintenant, après son aventure comme directrice générale du CP Berne, elle se lance un nouveau défi. Schelling est l’une des 17 candidates à l’obtention d’un poste au sein de la Commission des athlètes du Comité international olympique (CIO). Il n’y a que deux postes à pourvoir.
Elle se prépare donc à partir pour la Chine en vue des Jeux olympiques, où elle devra être en mesure de convaincre les athlètes à Pékin de voter pour elle. Le but de la Commission est essentiellement de donner une voix à tous les athlètes lors des rencontres du CIO. Elle se veut un moyen d’améliorer et développer les Jeux olympiques et de faire en sorte que les athlètes ne soient jamais oubliés et négligés dans les décisions du CIO.
Un poste de gestion qui la motiverait grandement et qui comblerait son besoin de s’investir auprès des athlètes et de faire avancer le sport de toutes les manières possibles.