L’effondrement de PK Subban est devenu un malaise historique sur les réseaux sociaux
Il y a des chutes brutales dans le monde du sport, et puis il y a ce qui s’est passé hier soir avec PK Subban. Ce qui devait être un simple match de hockey est devenu un véritable tremblement de terre médiatique, une descente aux enfers en temps réel pour l’ancien défenseur vedette du Canadien de Montréal.
En l’espace de quelques heures, il a perdu l’amour d’un pays entier.
La soirée avait déjà mal commencé pour Subban. Quelques heures avant le match, il a partagé sur ses réseaux sociaux un message controversé de Donald Trump, dans lequel l’ancien président américain faisait une allusion provocante au Canada comme potentiel 51ᵉ État des États-Unis.
Subban, qui a toujours su manipuler son image publique, n’a pas mesuré l’ampleur de la réaction que cela provoquerait.
En partageant ce message, il a donné l’impression qu’il cautionnait une déclaration humiliante pour son propre pays.
Puis, l’inimaginable s’est produit. Pendant le match, Subban a été vu en train de supporter les États-Unis, assis dans une loge VIP à Boston en compagnie de la famille Tkachuk – un clan bien connu pour son patriotisme américain.
Keith Tkachuk, père des deux frères Brady et Matthew, était également de la partie. Les images de Subban, sourire aux lèvres, entouré d’Américains fiers de leur équipe, ont été la goutte de trop.
Dès que ces images ont circulé, Subban a été submergé par une vague de colère et d’indignation. Le choc a été immédiat.
Des milliers de Canadiens, outrés, se sont déchaînés contre lui sur les réseaux sociaux. Les messages étaient brutaux, sans filtre, et reflétaient la colère d’un peuple trahi.
Lorsque le Canada a marqué le but gagnant en prolongation, Subban a fait semblant d'être content, alors qu'il supportait les Américains depuis le début.
Mais le public n'a pas été naïf:
Voici un échantillon des réactions virulentes qu’il a reçues :
« Reste de l’autre côté, minable. »
« Tais-toi, traître. »
« Bel essai, mais on sait de quel côté tu es maintenant. »
« Tu n’as pas le droit de célébrer notre pays, traître. »
« Dégage. Tu ne peux pas célébrer cette victoire. »
« Bel essai, mais on t’a entendu prédire une victoire des États-Unis à la télé. Tu n’as jamais cru en ton propre pays, tu ne fais plus partie de nous. »
Le retour en arrière est impossible.
Si quelqu’un devait savourer ce qui se passe en ce moment, ce sont bien Brendan Gallagher, Max Pacioretty et Josh Gorges.
Pendant des années, ils ont été perçus comme les méchants dans l’histoire de PK Subban. Ils étaient ceux qui, en coulisses, voulaient son départ. Ils étaient ceux qui, selon les fans, « complotaient » contre un des joueurs les plus aimés du Canadien.
Aujourd’hui, la vérité éclate au grand jour, et tout le monde comprend enfin pourquoi.
Gallagher, en particulier, a toujours eu une aversion viscérale pour Subban. Il le trouvait faux, individualiste, plus préoccupé par son image que par l’équipe.
Il l’a vu attirer toute l’attention pendant que d’autres travaillaient dans l’ombre. Il l’a vu sourire devant les caméras pendant que l’équipe souffrait dans le vestiaire.
Et maintenant, le monde entier voit ce que Gallagher a toujours su : PK Subban jouait un rôle, et aujourd’hui, son masque est tombé.
Marc Bergevin a été démoli lorsqu’il a échangé PK Subban contre Shea Weber. On lui a reproché d’avoir détruit l’âme du Canadien, d’avoir tourné le dos à une superstar adorée par les partisans.
Mais aujourd’hui, combien de gens lui doivent des excuses? Bergevin a pris une décision impopulaire, mais juste. Il savait ce que les fans refusaient de voir. Il savait que Subban était un poison dans le vestiaire, que derrière son personnage médiatique se cachait une individualité qui ne correspondait pas aux valeurs d’une équipe championne.
Weber a apporté du leadership, de la stabilité et du respect dans la chambre du CH. Pendant ce temps, Subban a brûlé ses ponts partout où il est passé : à Nashville, au New Jersey, et maintenant sur la scène médiatique. Aujourd’hui, tout le monde réalise que Bergevin a eu raison avant tout le monde.
PK Subban a toujours été un maître du spectacle. Il savait comment manipuler l’attention, comment capter les projecteurs. Mais à force de vouloir être plus grand que le jeu, il a fini par s’effondrer sous le poids de ses propres contradictions.
Brendan Gallagher, Max Pacioretty et Josh Gorges n’ont pas besoin de dire un mot aujourd’hui. Leur silence est plus fort que n’importe quelle déclaration.
Eux qui ont été pointés du doigt, critiqués, traînés dans la boue pour avoir voulu se débarrasser de Subban peuvent aujourd’hui sourire en coin. Ils avaient raison depuis le début.
Et maintenant, tout le monde le sait.
Le plus ironique dans cette histoire? Après la victoire du Canada, Subban a soudainement changé de ton. Il a tenté de jouer la carte du fier Canadien en publiant un message célébrant la victoire de son pays… mais il était déjà trop tard. Personne ne l’a cru.
Ce fut un désastre absolu. Les internautes ont vu clair dans son jeu et l’ont immédiatement cloué publiquement. Le mot « vendu » revenait sans cesse dans les commentaires.
Subban, autrefois adoré à Montréal, est aujourd’hui un rejet pour une grande partie des amateurs de hockey canadiens.
Le plus triste dans tout ça, c’est que Karl Subban, le père de PK, un homme respecté et d’une grande classe, a dû regarder cette débâcle en silence.
Lui qui a toujours été un modèle d’intégrité et d’humilité devait être dévasté de voir son fils s’autodétruire de la sorte.
Subban, qui avait tout – la gloire, l’amour du public, un héritage respecté – a tout perdu en une seule soirée. Son soutien aveugle aux États-Unis, son association avec Trump et son opportunisme flagrant l’ont définitivement fait tomber en disgrâce aux yeux des Canadiens.
PK Subban peut-il se relever de cet effondrement?
Il a toujours été un homme d’image, un communicateur habile. Il tentera sûrement de minimiser la situation, d’expliquer ses gestes, peut-être même de jouer la victime. Mais l’amour des gens, ça n’a pas de prix.
Et hier, PK Subban a perdu cet amour.
Un malaise historique. Un effondrement sans précédent. Un point de non-retour.