Crise dans le studio de LCN: Michel Bergeron inquiete ses proches

Crise dans le studio de LCN: Michel Bergeron inquiete ses proches

Par David Garel le 2025-02-28

Michel Bergeron a littéralement explosé sur les ondes de LCN, et cette fois, ce n’était pas seulement une critique acerbe, mais une décharge de frustration pure qui dégageait de lui comme un volcan prêt à entrer en éruption.

Ce qu’il venait de voir sur la glace, lors de la victoire du Canadien de Montréal contre les Sharks de San Jose, n’avait absolument rien de satisfaisant pour l’ancien entraîneur.

Bien que le Tricolore ait décroché les deux points, cette victoire en prolongation contre la pire équipe de la LNH n’a pas du tout impressionné le Tigre, qui a été tellement en colère qu’il avait de la difficulté à respirer.

"Je n’arrive même pas à respirer tellement je suis frustré!" a-t-il lancé, avec un ton qui laissait entendre qu’il venait de perdre patience avec une équipe qu’il juge bien trop molle pour ses standards.

Selon lui, l’approche du Canadien face à une équipe de bas de tableau comme les Sharks était une véritable blague.

"À domicile, quand on jouait contre une équipe nettement inférieure à la nôtre, j’essayais de l’abattre en première période. Le Canadien ne sort pas comme un enragé", s’est-il emporté, soulignant que le CH semblait s'adapter au rythme des autres, au lieu d'imposer son propre style de jeu, d’attaquer sans pitié.

Bergeron a été cinglant avev ses mots et a insisté sur la mollesse de l’équipe, sur sa capacité à se contenter de peu.

"On suit le rythme de l’autre club, on joue à quatre trios et on essaie de matcher les lignes au lieu d’y aller", a-t-il ajouté, comme s’il avait vu une équipe qui manquait d’ambition, qui se cachait derrière des excuses plutôt que de chercher à dominer sur la glace.

Pour lui, ce genre de performance n’est pas digne d’un club comme le Canadien de Montréal, une organisation avec un passé glorieux et une fanbase exigeante.

Mais là où Michel Bergeron n’a pas mâché ses mots, c’est en parlant des "séries éliminatoires". Si la tendance se poursuit, le Canadien manquera une nouvelle fois les séries, et ce serait la quatrième année de suite, la troisième sous la nouvelle direction.

"Tout le monde trouve ça correct et merveilleux", a-t-il déploré, clairement écœuré par cette culture du "processus" qui semble dominer l’organisation.

Au lieu de viser les sommets, on semble se satisfaire d’une médiocrité bien installée, ce qui est totalement inacceptable selon Bergeron.

"On fera une autre vente de garage. C’est le Canadien de Montréal", a-t-il fustigé, avec une ironie mordante, avant de conclure de manière cinglante :

"Si on rate les séries, ce sera encore une année de plus, et on continuera de dire que tout va bien."

Le Tigre a poussé un cri de frustration, exigeant de l’équipe bien plus que des demi-mesures.

"Moi, ça m’énerve! À ce moment-là, je n’ai plus envie de parler de hockey", a-t-il lâché, laissant entendre que le manque d’ambition et d'efforts déployés sur la glace commençait sérieusement à le fatiguer.

Bergeron n’a pas seulement critiqué la performance de l’équipe, mais a aussi déploré l’opacité de l’organisation, notamment en ce qui concerne le fameux "processus" qui semble tout englober.

Le manque de communication, la non-prise en compte des attentes des fans et cette gestion presque bureaucratique de la situation l’ont laissé sur le fil du rasoir.

Pour lui, le CH ne vit plus pour gagner, mais pour s’enterrer dans une spirale de justifications et d'excuses. Et dans cette époque de résultats qui peinent à venir,

Michel Bergeron, ce Tigre du hockey, n'a pas peur de dire tout haut ce que beaucoup préfèrent murmurer dans l’ombre. Et aujourd'hui, il semble que sa rage contre le Canadien de Montréal et sa gestion de l'équipe n'a jamais été aussi forte.

Pourtant, il est difficile de passer sous silence l’ironie de la situation. Le Canadien continue d’afficher une belle forme. La troisième victoire consécutive en est la preuve.

Ils se battent bec et ongle pour rester dans la course aux séries. Ils ont la bonne attitude, une énergie nouvelle, et des joueurs comme Nick Suzuki sont en feu, en train de porter l’équipe sur ses épaules.

Suzuki ne cesse d’accumuler les points, et son nom brille désormais de mille feux, contrastant totalement avec les critiques acerbes de Michel Bergeron.

Il est devenu impossible pour lui de s’acharner davantage sur Suzuki. L’attaque sur le capitaine du Tricolore est devenue une cause perdue, alors qu’il brille à chaque match.

Pourtant, au lieu de faire preuve d'une certaine reconnaissance pour la dynamique actuelle du club, Bergeron se tourne vers une nouvelle cible : toute l’équipe du Canadien.

C’est un trait de mauvaise foi évident, un retournement de situation aussi paradoxal qu’incompréhensible.

Son attaque contre le CH prend une tournure encore plus étrange quand on considère la réalité actuelle. L’équipe est en plein essor, se battant pour chaque point, cherchant à prouver sa valeur.

L’attitude semble enfin se battre, l'effort est au rendez-vous, mais Michel Bergeron ne peut que s’acharner contre cette réalité, critiquant encore et toujours, même quand les victoires s'enchaînent.

Si sa colère était déjà manifeste auparavant, elle semble maintenant l'envahir d’une manière dévorante. Ce n’est plus juste une critique froide et calculée. C’est de la rage pure, une décharge émotionnelle qui ne laisse plus place à la raison.

Il faut bien dire ce qui est : Michel Bergeron n’a pas l’air bien. En studio, il était tout en sueur, agité au point qu’il semblait presque incapable de se contenir.

Sa santé semble souffrir de cette agitation intérieure. Ses proches commencent à s'inquiéter sérieusement. À 78 ans, ce genre de stress peut avoir des conséquences plus graves que de simples critiques.

Et quand on le voit ainsi, tout en colère, son visage marqué par une vive émotion, on ne peut s'empêcher de se demander si cette haine et cette rancœur ne sont pas en train d’affecter son bien-être.

Il a perdu énormément de poids, et cela n’a échappé à personne. À force de se laisser dévorer par ses frustrations, il risque de compromettre bien plus que son image.

Au fond, ce n’est plus vraiment une question de hockey. C’est une question de santé. Michel Bergeron semble tellement agité par sa propre colère qu'il en oublie qu'il doit aussi prendre soin de lui-même.

Il est à la fois un monument du hockey et un homme qui, aujourd’hui, semble sur le point de se laisser engloutir par la tempête qu’il crée autour de lui.

Ses proches le savent, et cette inquiétude grandissante n’est pas qu’une simple note de bas de page. Cela devient une réalité qui le dépasse.

Le Canadien doit effectivement se réveiller, mais peut-être que, tout comme Bergeron, il est grand temps que ce dernier prenne également un moment pour respirer, se calmer et peut-être, juste peut-être, accepter la réalité sans cette colère dévorante.

Il est clair que sa famille s'inquiète en ce moment. À un moment donné...il faut que le Tigre accepte de se reposer...