Patrik Laine explose et lance une déclaration de guerre contre Martin St-Louis!
Incroyable. Hallucinant. Nous venons d’assister à l’un des moments les plus explosifs de la saison.
Patrik Laine vient de lancer une bombe médiatique d’une rare violence contre Martin St-Louis. Une sortie assassine, une flèche envoyée en pleine face de l’entraîneur-chef du Canadien de Montréal.
Les journalistes finlandais sont sous le choc. Les médias québécois sont en état de sidération totale. Le monde du hockey vient de prendre une secousse comme on en voit rarement.
Tout s’est déroulé lors du premier entraînement de l’équipe finlandaise en vue du tournoi des 4 Nations à Montréal.
Patrik Laine, libéré de l’emprise de Martin St-Louis, a enfin retrouvé son sourire. Il a été immédiatement placé sur le deuxième trio, aux côtés de Sebastian Aho et Roope Hintz, deux joueurs avec qui il partage une connexion depuis des années.
Il a été placé sur le top 6 sans aucune hésitation. Comme il l’a toujours mérité. Comme Martin St-Louis n’a jamais voulu lui accorder. (évidemment, il est de la première unité d'avantage numérique)
Mais c’est après l’entraînement que la situation a pris une tournure dramatique. Une phrase. Un seul commentaire.Mais une phrase qui résonne comme un coup de tonnerre.
« C’est sûr que le fait de jouer beaucoup de minutes ici va m’aider. Ce n’est pas arrivé souvent récemment. »
BOUM.
Patrik Laine vient d’envoyer une balle en plein cœur de Martin St-Louis.
Le sous-entendu est limpide. Il dénonce son temps de jeu ridicule à Montréal. Il accuse son entraîneur de le marginaliser, de l’enterrer, de l’empêcher de performer.
Et comme si ce n’était pas suffisant, il a ajouté une autre couche.
« Mais c’est parfois dur. »
La colère était évidente. Le ressentiment était là, juste sous la surface. La frustration d’un joueur qu’on a tenté de briser. Même le journaliste de TVA Sportsm Anthony Martineau, a parlé d'une réaction passive-agressive.
Laine ne pouvait pas être plus clair : il considère que Martin St-Louis l’a injustement mis au banc, qu’il ne lui a jamais donné sa chance et qu’il l’a transformé en bouc émissaire.
Et il n’a pas tort. Depuis son arrivée à Montréal, Laine a été humilié.
Il n’a jamais été testé avec Nick Suzuki et Cole Caufield. Il a toujours été relégué avec des joueurs de soutien. Il a été cloué au banc à plusieurs reprises. Son temps de jeu a fondu comme neige au soleil.
Et pourtant, à chaque occasion, Martin St-Louis a toujours eu une excuse.
« C’est une question de méritocratie. »
« Il doit trouver son jeu. »
« Il doit s’impliquer davantage. »
Mais la vérité, c’est que St-Louis n'a jamais voulu de Laine.
Et maintenant, Patrik Laine riposte.
Si au Québec, on tente encore de minimiser la situation, en Finlande, c’est un véritable tremblement de terre.
Les médias locaux dépeignent St-Louis comme un bourreau, un entraîneur intransigeant qui a détruit mentalement un joueur fragile.
Certains vont même jusqu’à dire que St-Louis a poussé Laine vers une nouvelle crise existentielle, en le reléguant au rang de simple figurant à Montréal.
On s’inquiète sérieusement pour son état mental.
Rappelons que Patrik Laine a déjà traversé des périodes sombres. Il a parlé ouvertement de sa dépression. Il a admis avoir perdu le goût du hockey à certains moments de sa carrière.
Et maintenant? On l’a vu totalement éteint à Montréal. Aucun engagement. Aucune émotion. Mais voilà qu’en Finlande, il redevient un joueur heureux, motivé, impliqué.
Il y a quelques jours à peine, on l’accusait de jouer trop à Fortnite. Aujourd’hui, il s’entraîne avec les meilleurs joueurs finlandais et semble retrouver du plaisir.
Et maintenant? Une relation irréparable
On est au point de non-retour.
Patrik Laine ne pourra plus remettre les pieds à Montréal avec Martin St-Louis derrière le banc. Comment imaginer un retour après cette déclaration incendiaire?
Comment imaginer que St-Louis va soudainement lui faire confiance après s’être fait humilier de la sorte?
Ce duel est terminé. Laine a allumé la mèche, et maintenant, tout va exploser.
Kent Hughes n’a plus le choix :
Un échange? Impossible, à moins de retenir une grande partie de son salaire.
Un rachat de contrat? Une option trop coûteuse.
Une séparation forcée en le poussant à rester chez lui? Impensable sans créer un scandale avec l’Association des joueurs.
Le Canadien est pris avec une patate chaude incontrôlable. Et le pire? Martin St-Louis doit être furieux.
Il sait que les médias finlandais vont continuer d’alimenter cette guerre. Il sait que chaque match va être scruté à la loupe. Il sait que chaque minute de glace accordée (ou refusée) à Laine va devenir un débat national.
Le conflit ne fait que commencer. Patrik Laine vient de jeter une bombe médiatique. Le vestiaire du Canadien est un champ de mines.
Et maintenant? L’explosion est imminente.
Patrik Laine n’en est pas à sa première controverse. Chaque fois qu’il ouvre la bouche, il semble inévitablement attirer l’attention, mais cette fois-ci, il a peut-être franchi une limite dont il ne pourra plus revenir.
Alors que ses propos visant Martin St-Louis ont déjà provoqué une onde de choc à Montréal et en Finlande, une autre scène s’est déroulée dans les coulisses du vestiaire finlandais.
Joël Armia, son compatriote, coéquipier à Montréal et ancien coéquipier à Winnipeg, semblait profondément mal à l’aise après la déclaration incendiaire de Laine.
D’ordinaire réservé et peu enclin aux polémiques, Joël Armia était censé être un allié naturel pour Laine dans cette aventure avec l’équipe nationale.
Plus tôt dans la journée, il avait même exprimé son enthousiasme à l’idée de faire découvrir Montréal à ses coéquipiers finlandais.
« C’est moi qui vais leur montrer où manger, où aller en ville. J’ai hâte de passer du temps avec eux et de leur montrer la place. »
Mais dès que Laine a lâché sa bombe médiatique, le ton d’Armia a changé. L’inconfort était évident. Assis à quelques mètres de lui, il a évité de croiser son regard, détourné les yeux, et s’est mis à jouer nerveusement avec ses gants.
Ce silence en disait long. Il était évident que Joël Armia ne voulait pas être mêlé à une nouvelle controverse autour de Laine.
Lui qui a toujours fait profil bas au sein du Canadien se retrouvait malgré lui au centre d’une guerre ouverte entre Laine et St-Louis.
Ce n’est pas la première fois que Patrik Laine provoque un chaos médiatique en s’attaquant à ses propres entraîneurs ou ex-coéquipiers.
On se souvient encore du scandale retentissant avant son match contre Columbuslors qu’il avait ouvertement traité les Blue Jackets de “perdants”, expliquant qu’il avait demandé à être échangéparce qu’il ne voulait plus faire partie de cette équipe.
Son arrogance lui avait coûté cher. Il avait été ciblé toute la soirée, frappé à répétition par ses anciens coéquipiers, et avait terminé le match prématurément au vestiaire.
Pire encore, les Blue Jackets avaient annulé un hommage qu’ils prévoyaient lui rendre, et plusieurs joueurs, dont Zach Werenski et Mathieu Olivier, avaient dénoncé publiquement ses propos.
L'homme fort québécois a été sans pitié:
« C’était une situation qui nous a frustré. Nous avons traversé des périodes difficiles lorsque Patty faisait partie de l’équipe. Nous le connaissions bien et nous avons combattu à ses côtés.
Mais il a tenu des propos qui ne sont vraiment pas passés auprès de nous. On se disait qu’il avait traversé ces épreuves avec nous, et ensuite, il est parti en laissant croire que tout le problème venait de notre côté. Ce n’est pas juste, vous ne trouvez pas ? »
« Je n’ai pas eu de conversation avec Patty depuis cet épisode. Peut-être que je finirai par lui parler un jour, mais pour l’instant, c’est tout ce que j’ai à dire sur le sujet. C’est un dossier complexe à discuter publiquement. »
Cette déclaration avait fait le tour de la LNH et avait renforcé l’image d’un Laine incapable de garder sa langue dans sa poche et de comprendre les conséquences de ses mots.
Et maintenant, il recommence. Laine est en train de se mettre tout le monde à dos
Après Winnipeg et Columbus, voici que Montréal est la prochaine ville où Laine brûle tous ses ponts. Ce joueur, qui autrefois était perçu comme un talent générationnel, est devenu un rejet partout où il passe.
Il s’est mis à dos ses coéquipiers à Winnipeg. Il s’est mis à dos tout Columbus. Maintenant, il attaque ouvertement Martin St-Louis.
Ce comportement ne peut que mener à une issue dramatique.
Le Canadien de Montréal ne pourra jamais se sortir de cette crise tant que Laine restera dans l’entourage de l’équipe.
Mais avec un contrat de 8,7 millions de dollars jusqu’en 2026, comment s’en débarrasser sans provoquer une autre tempête?
Kent Hughes est pris dans un piège. Comment Martin St-Louis peut-il encore gérer une année complète avec ce joueur ?
Et pendant ce temps, Laine continue de creuser son propre trou.
Jusqu’où cette saga va-t-elle aller ?
Le Canadien doit agir. Et vite.