Cole Caufield traverse actuellement une période difficile alors qu'il tente de convaincre les dirigeants des États-Unis de lui accorder une place pour les Jeux Olympiques.
Malgré son talent indéniable, Caufield peine à se démarquer sur la scène internationale, notamment lors du championnat du monde où il espérait impressionner Bill Guérin et solidifier sa candidature.
L'absence de son coéquipier des Canadiens de Montréal, Nick Suzuki, se fait cruellement sentir. Suzuki, souvent le maître d'œuvre des opportunités de Caufield en lui offrant des passes précises, n'est pas là pour lui faciliter la tâche.
Cette situation complique la capacité de Caufield à démontrer son plein potentiel, ce qui joue en sa défaveur auprès des recruteurs américains.
Cependant, Caufield reste une figure positive et appréciée au sein de l'équipe. Connu pour son esprit jovial et sa capacité à égayer l'ambiance, il est le boute-en-train du vestiaire, riant et plaisantant avec tout le monde.
Son charisme ne passe pas inaperçu, et il a même charmé la responsable des réseaux sociaux du championnat du monde, se forgeant une réputation de Don Juan.
Sa personnalité engageante est un atout indéniable pour la dynamique de l'équipe, mais malheureusement, cela ne suffit pas à masquer ses difficultés sur la glace.
Malgré ces qualités humaines, les dirigeants américains semblent hésitants à l'inclure dans l'équipe olympique. Caufield devra redoubler d'efforts pour prouver qu'il peut être aussi performant à l'international qu'il l'est à Montréal; et montrer que son talent va au-delà de ses interactions sociales et de son charme naturel.
Pour l'instant, il reste un joueur apprécié et respecté, mais pas encore un Olympien aux yeux de ceux qui prennent les décisions.
Par contre, pour les demoiselles, il est un Olympien dans tous les sens du terme.