- Claude Julien se permet des JOKES avec les journalistes...
«On est des bibittes routinières, il y a des choses qu’on fait depuis qu’on joue au hockey et qu’on est entraîneurs. Ça a été bizarre et différent depuis quatre mois, mais c’est plaisant de revenir au jeu et de faire ce qu’on aime. C’est comme recommencer une nouvelle saison, même si on en finit une.
«On sait que nos chances étaient minimes de participer aux séries. J’ai dit aux gars: on ne devrait pas être gênés d’y participer. L’an dernier, on n’était pas là et trois équipes (Vegas, Dallas et Colorado) y étaient avec une moins bonne fiche que nous.»
- Claude s'est permis quelques JOKES avec les journalistes via ZOOM..
«John [Lu], je ne peux pas te voir, alors je me demande ce que tu portes aujourd’hui. As-tu ton nœud papillon?»
«C’est de ne pas oublier de mettre mon masque à la minute que je sors de mon bureau. Le reste est plus ou moins pareil. On regarde des vidéos, on passe du temps au gymnase. La seule chose qu’on fait plus sérieusement, c’est de resserrer toutes les choses."
«Avant cette situation, les gars aimaient arriver de bonne heure, déjeuner, passer du temps ensemble. Maintenant, c’est plus serré, on veut respecter les critères et rester en santé. Après l’entraînement, on encourage les joueurs à retourner chez eux."
«Si tu n’es pas prudent, tu mets tout le monde en danger. Je pense que nos joueurs comprennent ça. Ce sont des athlètes qui ont été disciplinés toute leur vie. Je pense qu’ils comprennent ce qu’ils doivent faire pour protéger les autres.»
«En ce moment, la majorité des joueurs, on le savait, ils connaissaient le système. C’est plus une question d’améliorer des aspects de notre jeu qui nous donneront du succès. On se concentre sur nous-mêmes et la semaine prochaine, on va approcher les étapes pour bien se préparer pour Pittsburgh.
«Dans un camp normal, les joueurs passent des tests et on voit s’ils sont en bonne forme. Les gars ont eu la chance de patiner et de se garder en forme. Cette fois, on n’a pas eu ce luxe-là avec tous les joueurs. On ne veut pas surtaxer les joueurs et les mettre en position vulnérable, pour ceux qui n’ont pas eu le même entraînement que s’il n’y avait pas eu de COVID.»