C’est un cauchemar bien réel que vivent les Montréalais depuis le déclenchement de la grève de la STM. Une ville bloquée, des citoyens pris en otage, des travailleurs laissés à pied dans un flou total, et pendant ce temps, une mairesse qui s’excuse de boire du champagne à volonté ou d’avoir facturé des bouteilles de vin à 300 $ aux contribuables.
Des files d’attente interminables. Des usagers désespérés qui sautent par-dessus les tourniquets du métro dans l’espoir d’attraper un train qui ne s’arrêtera jamais.
Des pauvres travailleurs coincés sans solution, des étudiants incapables de rentrer chez eux, des employés épuisés qui finissent leur quart de nuit pour se heurter à des grilles fermées. C’est ça, Montréal en juin 2025. Une ville complètement dysfonctionnelle, plongée dans le chaos le plus total.
Et que fait Valérie Plante? Elle s’excuse. Pas pour la grève, pas pour l’inaction, mais pour le vin. Le vin qu’elle s’est payée — et qu’elle a offert à ses convives — avec notre argent lors d’un somptueux souper en Autriche.
Le peuple attend l’autobus. La mairesse boit du Bourgogne et du champagne.
Dans les rues de Montréal, lundi matin, c’était la confusion absolue. Un pauvre citoyen de Longueuil s’est buté à une station grillagée.
Une pauvre infirmière, épuisée de son quart de nuit, s’est vue refuser l’accès au métro. Un étudiant n’a aucun moyen de rentrer chez lui après ses cours à 21 h.
Faut-il s'étonner que la ville de Montréal n'ait plus de fonds pour satisfaire les conditions de travail des employés de la STM?
Pendan tout le mandat de Valérie Plante, la mairesse et ses amis savouraient constamment des menu trois services accompagné bouteilles de vin, de champagne sans fin d’une valeur totale de plus de 500 $.
Le fameux scandale du restaurant « Und Flora » à Vienne ou des fameuses huit bouteilles à 288 dollars chacune payées...par vous...
Dites-vous que ce genre de soirée a marqué le mandat de 8 ans de cette chère Valérie Plante qui s'est servi au buffet les yeux fermés.
C’est ça, la réalité à Montréal. Le peuple marche, la mairesse trinque.
Plus révoltant encore : les conducteurs de la STM, en pleine grève, narguent les usagers en faisant circuler des trains vides qui ne s’arrêtent pas.
Des passagers crient, courent, pleurent… en vain. Ce sont des convois morts. Pourquoi tournent-ils? Pour ne pas créer d’embouteillage dans les tunnels. On ose à peine croire à ce théâtre d’absurdité.
Des dizaines de personnes ont patienté pour l’autobus sans qu’un seul véhicule ne s’arrête. Des écrans de métro deviennent rouges, les gens sautent les tourniquets en panique, et les constables spéciaux sont appelés à la rescousse pour évacuer les stations comme à Vendôme ou Jean-Talon.
Montréal a littéralement basculé dans la désorganisation, la désinformation et l’inertie politique la plus honteuse.
Les travailleurs de la STM veulent des meilleures conditions, une réduction de la sous-traitance et une convention collective.
C’est légitime. Ce qui ne l’est pas, c’est l’absence de volonté politique pour résoudre la crise. Soraya Martinez Ferrada, cheffe de l’opposition, a résumé le tout :
« Une semaine d’intervalle entre deux rencontres de négociation, c’est inacceptable. » Et elle a raison. Pendant que Montréal brûle, Valérie Plante a promené son incompétence entre les studios de Los Angeles pour des supposées missions artistiques payés par vos taxes municipales et les restaurants les plus huppés d’Europe.
Ce n’est pas qu’une question de vin à Vienne. C’est une question de culture. Une culture de gaspillage, de mépris, de déconnexion. Sous Valérie Plante, l’OCPM, organisme financé par la Ville, a dilapidé des milliers de dollars en repas somptueux.
Dominique Ollivier, sa protégée qui a démissionné dans la honte après tous les scandales en 2023, a osé facturer 347 $ pour un souper d’huîtres à Paris.
Si seulement cet argent avait été dépensé seulement en Europe dans leurs voyages de luxe. Mais non. L'argent des contribuables a été dilapidé sous notre nez... dans notre ville... qui n'a même plus de transport en commun.
Des repas à 208 $ à Ikanos. Des plats à 170 $ chez Damas. Du carré d’agneau, du filet mignon, des grillades de luxe, du champagne à volonté.
Des écouteurs à 900 $. Et c’est payé par qui? Par nous. Par les mêmes citoyens qui dorment debout dans les stations de métro fermées, qui se ruinent avec des courses Uber à 50 $, ou qui ratent leur emploi faute de service de transport.
À Vienne, 12 convives, 8 bouteilles de vin, des menus à 76 $ chacun, et une mairesse qui parle d’une « erreur de bonne foi ».
À Montréal, des repas pour « consulter » des commissaires potentiels, facturés à coups de centaines de dollars. Comme si les réunions au bureau étaient devenues une pratique de pauvre.
À Los Angeles, Valérie Plante fait la tournée des studios de cinéma… pendant qu’elle bronze sur la plage. Les vidéos circulent. Le peuple paie.
Elle dépense près de 540 $ en vin dans un restaurant de Vienne, puis s’excuse.
« Ce n’est pas dans nos pratiques. »
Mais elle l’a fait. Et elle a seulement remboursé après qu’un journaliste l’ait prise la main dans le sac.
Et n’oublions pas ceci : Valérie Plante touche un salaire de 207 000 $ par année. Pendant qu’elle nous parle de vélo, de transport actif et d’apaisement, les Montréalais vivent l’apocalypse urbaine.
Elle prétend défendre les travailleurs et les familles, mais ne s’est pas gênée pour rembourser le vin et le champagne seulement après que les médias aient exposé le scandale. C’est ce qu’on appelle une excuse forcée, pas une preuve d’intégrité.
Montréal mérite mieux.
Les images de citoyens sautant les tourniquets, les taxis à 50 $, les arrêts d’autobus bondés et les stations grillagées sont les symboles d’un système en ruine.
Et pendant ce temps, la mairesse s’en va plaider à Los Angeles pour des crédits d’impôt à l’industrie du cinéma. Elle défend les productions hollywoodiennes, mais qui défend les Montréalais?
Elle promet que tout ça servira à créer des emplois dans les effets spéciaux. Peut-être. Mais aujourd’hui, c’est dans la réalité qu’on vit, pas dans un film. Et la réalité, c’est que Montréal est paralysée. Pas par la neige. Pas par un tremblement de terre. Par l’inaction politique.
Une administration toxique, arrogante et déconnectée.
Le dossier est trop gros, trop lourd, trop puant. Il ne s’agit plus d’erreurs isolées, mais d’un système de dépenses obscènes, de mépris envers les citoyens, et d’une incompétence chronique dans la gestion des crises.
Dominique Ollivier poursuit maintenant Quebecor pour 1,7 million de dollars, osant dire qu’elle s’est « sentie obligée » de rembourser les huîtres à Paris. Pendant ce temps, ses anciens collègues se gavent encore dans les restos les plus chers de Montréal.
Et que fait la mairesse? Elle espère que les Montréalais « adhéreront à son explication ». Non, Madame. Ce peuple n’adhère plus à rien. Il est en colère. Il est exténué. Il veut des réponses. Et surtout, il veut que vous partiez.
Elle a eu sa chance. Elle a gaspillé son capital politique. Elle a trahi la confiance des Montréalais. Aujourd’hui, pendant que des usagers du métro dorment à même les quais, pendant que les étudiants abandonnent leur cours, pendant que les familles se serrent la ceinture pour prendre un taxi au lieu de l’autobus, vous, Valérie Plante, avez trinqué à Los Angeles, à Paris, à Vienne.
Les Montréalais n'ont pas de poignée dans le dos.
Ils savent que vous êtes responsable de ce chaos. Et si vous avez encore un minimum de décence, vous annoncerez votre démission immédiate. Qu'est-ce que cela changerait de toute façon? Vous partez l'automne prochain de toute façon.
Boire du vin à 288 $ sur le dos de citoyens pris en otage par une grève que vous ne contrôlez même pas… c’est la goutte de trop.
Madame la mairesse, votre image s'est effondrée depuis longtemps dans ce buffet et ce champagne à volonté. Dommage que votre effondrement ait maintenant atteint le métro... le coeur des Montréalais...