C'est terminé pour Radio-Canada

C'est terminé pour Radio-Canada

Par David Garel le 2025-03-13

Un véritable tremblement de terre médiatique secoue Radio-Canada. 

Jean-Philippe Wauthier, animateur de La journée est encore jeune, est dans l'eau chaude jusqu’au cou après la diffusion d’un extrait vidéo scandaleux où il maltraite Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec:

Dans cet extrait, qui circule en boucle sur les réseaux sociaux, on voit clairement Jean-Philippe Wauthier empêcher Duhaime de s’exprimer, le couper sans cesse, et lui manquer de respect, simplement parce qu’il ose défendre la liberté de choix des Québécois en matière de voitures électriques.

Le masque tombe. Jean-Philippe Wauthier s’est livré à une démonstration d’arrogance et de mépris absolu lors de son entrevue avec Éric Duhaime.

Ce segment, désormais viral sur les réseaux sociaux, montre un Wautier incapable de laisser parler son invité, cherchant plutôt à l’humilier et à imposer une seule façon de penser.

Wauthier n’a cessé de couper son invité, de ridiculiser ses arguments et de défendre bec et ongles la ligne idéologique imposée par le gouvernement et les élites médiatiques.

Pendant ce temps, Duhaime est resté d’un calme olympien, défendant le droit fondamental des Québécois à choisir.

Mais ce qui rend ce scandale encore plus révoltant, c’est ce que l’on découvre en tirant les ficelles. Wautier n’est pas seulement un animateur de Radio-Canada. Il est aussi l’animateur du podcast La Poire et le Fromage… aux côtés de Louis Morissette!

Et voilà que le cercle vicieux se referme.

Ce mépris affiché n’est pas une coïncidence. Jean-Philippe Wauthier fait partie de l’écosystème Radio-Canada, Véro.tv et Louis Morissette.

Rappelons les faits :

Wautier anime La Poire et le Fromage, un podcast sportif avec Louis Morissette.

Louis Morissette est au cœur de Véro.tv, la plateforme payante de Radio-Canada.

Véronique Cloutier et lui profitent directement des millions versés à Radio-Canada, qui leur permet de produire leurs projets sur le dos des contribuables.

Véro.tv exige un abonnement supplémentaire… alors que les contribuables paient déjà Radio-Canada avec leurs impôts!

Tout est lié.

Jean-Philippe Wautier ne défend pas une simple opinion. Il protège un système qui engraisse les mêmes élites, qui contrôle la pensée unique et qui refuse d’accorder du temps d’antenne à toute voix dissidente.

Et quand un politicien comme Éric Duhaime ose remettre en question ce modèle?

On le ridiculise. On l’empêche de parler. On l’humilie en direct.

Tout cela s’inscrit dans un scandale beaucoup plus vaste.

Le Parti libéral du Canada est déjà en train de sécuriser l’appui de Radio-Canada en prévision des prochaines élections.

Mark Carney a déjà annoncé que sa campagne inclurait une promesse majeure : doubler le financement de Radio-Canada.

En entrevue avec Hockey30, Éric Duhaime est tout simplement sans pitié face à cette honte nationale:

Le Parti libéral sait que Radio-Canada est son principal outil de communication.

Radio-Canada sait que les libéraux sont son principal protecteur financier.

Et les conservateurs de Pierre Poilievre menacent de couper tout ce financement.

On ne peut pas comprendre l’agressivité avec laquelle Wautier a traité Duhaime sans comprendre ce qui se joue en coulisses.

La question que pose Éric Duhaime est aussi directe que percutante :

“Pensez-vous que Radio-Canada va bien couvrir les libéraux dans les prochaines élections?”

La réponse est évidente :

Radio-Canada va tout faire pour favoriser le Parti libéral et va attaquer encore plus violemment Poilievre et les conservateurs.

Radio-Canada va utiliser chaque émission, chaque chronique, chaque analyse pour défendre le gouvernement libéral.

“C’est sûr qu’ils vont faire ça, c’est déjà parti, mais en même temps, les gens ne sont pas dupes. Ils le voient puis ils le savent.”

Les Canadiens ne sont pas idiots. 

Ils voient comment les médias traditionnels, financés par l’État, jouent un rôle politique plutôt qu’informatif. Si les libéraux gagnent, Radio-Canada sera plus puissant que jamais

Éric Duhaime touche à un point fondamental :

“Si les conservateurs de Pierre Poilievre sont effectivement élus, comme je pense que ça va se produire, bien CBC, en partant, il a dit qu’il coupait le financement.”

Tout s’explique.

Radio-Canada mène une guerre médiatique pour sauver sa propre existence. Si Mark Carney devient premier ministre, Radio-Canada recevra encore plus d’argent public.

Si Pierre Poilievre est élu, elle sera démantelée.

C’est un combat pour la survie de la machine de propagande libérale, et c’est exactement pour cela que des animateurs comme Jean-Philippe Wautier attaquent Éric Duhaime avec tant de mépris.

Le véritable enjeu des prochaines élections fédérales, ce n’est pas seulement une lutte entre Poilievre et Carney.

C’est une bataille entre un Canada où les médias sont libres, et un Canada où l’État continue de financer un diffuseur honteux.

Et c’est pourquoi Radio-Canada est déjà en campagne électorale. Elle ne se bat pas pour informer. Elle se bat pour survivre.

Rappelons que Radio-Canada est censée être un diffuseur public.

Mais qu’elle exige des abonnements payants pour certaines productions.

Qu’elle reçoit 1,5 milliard de dollars par année tout en vendant de la publicité, ce que TVA ne peut se permettre.

Qu’elle favorise systématiquement la même clique d’artistes et de producteurs, toujours les mêmes visages, toujours les mêmes idées.

Et quand un politicien conservateur ose critiquer ce modèle?

On l’écrase. On le coupe. On l’empêche d’exister médiatiquement.

C’est une manipulation pure et simple.

Dans son entrevue accordée à David Garel de Hockey 30, Éric Duhaime est resté d’un calme exemplaire, malgré le mépris flagrant de Wautier.

Il a dénoncé le traitement injuste réservé aux voix dissidentes.

Il a expliqué comment les médias traditionnels refusent de lui donner du temps d’antenne, sauf pour tenter de le discréditer.

Il a rappelé que sans les médias alternatifs, le Parti conservateur du Québec n’existerait même pas. Et il a parfaitement raison.

Radio-Canada n’est plus un diffuseur public. C’est un bastion idéologique, une machine de propagande financée par nos impôts.

Ce scandale ne fait que prouver une chose :

Radio-Canada sait qu’elle vit ses derniers jours. Elle sait que Poilievre et Duhaime veulent mettre fin à ce système d’injustice.

Et c’est pourquoi elle attaque avec autant de mépris toute voix qui ose défier son monopole.

Jean-Philippe Wautier a peut-être cru qu’il pouvait écraser Éric Duhaime en direct.

Mais au contraire, il vient d’exposer au grand jour l’arrogance de Radio-Canada.

Et les Québécois, de plus en plus nombreux, comprennent qu’il est temps de mettre fin à cette mascarade.

Ce scandale médiatique est le parfait exemple de la pensée unique de gauche qui règne à Radio-Canada, une société d’État payée par nos impôts, mais qui bafoue la démocratie et méprise toute opinion divergente.

Et pourtant, Duhaime n’a fait que défendre une position logique et partagée par une grande majorité des Québécois :

Personne ne devrait être forcé d’acheter une voiture électrique.

C’est une question de liberté individuelle. De choix personnel. Et Jean-Philippe Wautier n’a rien trouvé de mieux à faire que d’essayer d’humilier Duhaime en direct, sans jamais lui laisser la chance d’expliquer son point de vue.

Mais le grand perdant dans cette histoire, ce n’est pas Éric Duhaime.

C’est Radio-Canada.

Ce scandale est une preuve de plus que la société d'État n’a plus aucune crédibilité. Radi-Canada reçoit plus d’un milliard et demi de dollars par année, mais elle ne représente qu’un seul point de vue.

On le voit avec Tout le monde en parle, avec Le Bye Bye, avec Véro.tv… Radio-Canada n’est plus un service public. C’est un organe de propagande qui exclut toute pensée différente.

Si vous êtes de gauche, vous êtes un invité d’honneur.

Si vous êtes de droite, vous êtes un ennemi à abattre.

Pourquoi? Parce que Radio-Canada sait que si Pierre Poilievre arrive au pouvoir, cette machine à subventions injuste va disparaître.

Radio-Canada tente de contrôler le débat public en empêchant les opposants du système de se faire entendre.

Et c’est pour cette raison que Poilievre et Duhaime sont la plus grande menace pour eux.

Il est honteux qu’un média payé par nos impôts traite un chef de parti de cette manière.

Mais c’est encore plus inacceptable quand on se rappelle que Radio-Canada exige même des frais supplémentaires pour certaines de ses productions.

Honte à Véro.tv, la plateforme exclusive de Radio-Canada, qui oblige les citoyens à payer un abonnement supplémentaire pour accéder à certains contenus… alors qu’ils ont déjà été financés par nos taxes!

On paie Radio-Canada avec nos impôts… et il faut payer une deuxième fois pour voir leur contenu?

Tout ça, pendant que les médias privés comme TVA luttent pour leur survie.

Pierre-Karl Péladeau avait raison.

Pierre Poilievre a raison.

Éric Duhaime a raison.

Radio-Canada ne sert plus les Canadiens. Encore moins les Québécois. Elle se sert ELLE-MÊME.

Ce que Jean-Philippe Wautier vient de faire, c’est exposer au grand jour ce que tout le monde savait déjà : Radio-Canada ne tolère pas la diversité d’opinions.

Le mépris affiché envers Éric Duhaime est un scandale national. Radio-Canada ne sert plus le peuple québécois.

Radio-Canada ne représente qu’un seul camp politique. Cette chaîne est devenu un gouffre financier inutile, un trou où nos taxes disparaissent.

Si Poilievre prend le pouvoir, Radio-Canada ne survivra pas. Si Duhaime gagne en influence, Radio-Canada sera démantelé.

Jean-Philippe Wautier est peut-être arrogant. Mais il vient de signer l’arrêt de mort de Radio-Canada.