C'est terminé pour François Legault: le mensonge de 5 milliards éclate

C'est terminé pour François Legault: le mensonge de 5 milliards éclate

Par David Garel le 2025-03-13

C’est une trahison politique d’une ampleur rarement vue au Québec. 

François Legault a menti à toute la population pour justifier un investissement insensé dans le Stade olympique. Il avait affirmé que démolir le stade coûterait 2 milliards de dollars, un chiffre invraisemblable qui a servi à justifier la réfection du toit pour 870 millions. 

Mais aujourd’hui, la vérité éclate : non seulement la démolition n’aurait jamais coûté 2 milliards, mais la rénovation du stade aura finalement englouti plus de 5 milliards de dollars des fonds publics.

Cet extrait vidéo va vous donner envie de tout casser:

À l’approche des élections de 2026, Legault est pris la main dans le sac, coincé par ses propres mensonges. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la destruction du stade n’aurait jamais coûté 2 milliards.

Partout en Amérique du Nord, des stades de taille comparable ont été démolis pour des montants nettement inférieurs.

Le Stade de Sydney ? 41 millions.

Le Yankee Stadium ? 47 millions.

Même la démolition d’une centrale nucléaire en Oregon n’a coûté que 447 millions ! Alors comment Legault a-t-il pu oser avancer un chiffre aussi farfelu ?

On parle d'un mensonge d’État pour justifier un fiasco financier.

En réalité, cette estimation grotesque n’avait qu’un seul but : forcer la main aux Québécois et faire passer la réfection du stade comme une “option économique”. 

En brandissant un faux coût de démolition, Legault et son gouvernement ont manipulé l’opinion publique pour justifier une nouvelle dépense monumentale.

Mais voilà, la facture du Parc olympique ne cesse d’exploser. Les travaux s’accumulent, les dépassements budgétaires se multiplient, et la somme totale frôle aujourd’hui les 5 milliards de dollars. 

Le gouffre financier du Stade olympique ne s’est pas creusé en un jour, mais l’ampleur des sommes englouties au fil des décennies est proprement scandaleuse. 

Comment arrive-t-on à la somme astronomique de 5 milliards de dollars ? Voici la ventilation des coûts, chiffres à l’appui.

D’abord, entre 1976 et mars 2018, un total de 3,52 milliards de dollars a été investi dans la construction et l’entretien du Parc olympique.

Ces dépenses incluent les coûts initiaux de construction du Stade, les multiples tentatives de réparation de son toit et les travaux nécessaires pour maintenir l’infrastructure en état minimal de fonctionnement.

Ensuite, entre avril 2018 et mars 2024, 340 millions de dollars supplémentaires ont été injectés dans divers travaux de rénovation, notamment pour la tour du Stade et les installations environnantes.

Puis, le clou du spectacle : le remplacement du toit, annoncé à 870 millions de dollars, mais qui a rapidement dépassé le milliard. 

Ce montant comprend non seulement la nouvelle toiture, mais aussi les modifications structurelles requises pour la supporter, ainsi que les frais annexes liés à la mise aux normes de certaines parties du Stade.

Au total, la facture atteint déjà 4,73 milliards de dollars. Mais comme toujours avec les grands projets gouvernementaux, il y a les fameux dépassements de coûts, les frais d’emprunt et les imprévus de la construction.

Résultat ? Une facture finale qui s’approche des 5 milliards de dollars, confirmant que le gouvernement a préféré enfouir des milliards dans une poubelle olympique plutôt que d’évaluer sérieusement des solutions plus viables.

Ironie du sort, si la justification officielle de François Legault pour éviter la démolition reposait sur un coût prétendument exorbitant de 2 milliards, le Québec a fini par payer plus du double pour une rénovation qui ne garantira jamais la rentabilité du site. 

Un fiasco économique d’une ampleur historique, qui hantera le gouvernement Legault jusqu’aux élections de 2026.

Oui, 5 MILLIARDS de dollars pour un stade dont l’utilité est plus que contestée. Tout cela parce qu’on nous a fait croire qu’il était “moins cher” de le rénover que de le raser.

Devant l’ampleur du scandale, Éric Duhaime ne s’est pas gêné pour détruire le premier ministre. Lors d’une entrevue percutante, le chef du Parti conservateur du Québec a dénoncé sans détour la supercherie de Legault.

On nous a pris pour des idiots ! François Legault a menti à tout le Québec, et maintenant la facture est de 5 milliards. Imaginez ce qu’on aurait pu faire avec cet argent au lieu de s’entêter à rafistoler un éléphant blanc !

Duhaime a mis en lumière les manipulations du gouvernement en rappelant que toutes les études sérieuses démontraient que la démolition du stade ne coûterait pas 2 milliards. 

Pourtant, Legault a volontairement caché ces faits pour imposer une dépense colossale aux Québécois.

Un scandale politique qui pourrait coûter cher à la CAQ en 2026.

Ce mensonge ne pouvait pas tomber à un pire moment pour François Legault. À l’approche des élections de 2026, la colère gronde au sein de la population.

L’image d’un gouvernement “prudent économiquement” est en miettes, et l’affaire du Stade olympique pourrait bien être le clou dans le cercueil de la CAQ.

Avec une facture de 5 milliards de dollars, un projet qui traîne en longueur et des révélations accablantes sur la manipulation des coûts, Legault devra répondre à une question simple mais brutale :

Pourquoi avoir menti aux Québécois ?

Le stade devait être sauvé à tout prix ? Le gouvernement voulait éviter un débat sur la démolition ? Peu importe l’excuse, le mensonge est flagrant et la population ne l’oubliera pas.

D’ici 2026, ce scandale risque de devenir un boulet politique pour Legault, et l’opposition n’hésitera pas à lui rappeler que son gouvernement a dilapidé des milliards sur la base d’un mensonge. 

Le fiasco du Stade olympique est désormais gravé dans l’histoire du Québec, et François Legault en portera la honte pour longtemps.

Nous sommes sans mot.

Ce scandale du Stade olympique ne sera pas sans conséquence. Il marque la fin de l’illusion entretenue par François Legault et son gouvernement, qui ont cherché à maquiller l’ampleur de leur incompétence sous des chiffres fabriqués de toutes pièces. 

Ce mensonge sur le coût de la démolition et l’explosion des coûts des rénovations ne sont pas de simples erreurs de gestion : ils symbolisent une trahison politique.

Les Québécois, qui voient leur argent gaspillé dans un gouffre financier depuis près de cinquante ans, ne pardonneront pas.

Ce qui devait être un “investissement raisonnable” s’est transformé en un fiasco économique de 5 milliards de dollars, et tout ça, parce que François Legault a préféré manipuler la vérité plutôt que d’assumer des décisions difficiles. 

Ce mensonge est le dernier clou dans le cercueil politique de François Legault.

Alors que le Québec se prépare aux élections de 2026, ce scandale hantera la CAQ à chaque discours, à chaque débat, à chaque promesse de saine gestion des finances publiques. 

Après avoir prétendu être le parti du bon sens économique, Legault et son équipe n’ont fait que répéter les erreurs du passé et plonger la province dans une facture qui ne cesse de gonfler. L’image d’un gouvernement responsable a volé en éclats avec le Stade olympique.

Malheureusement, si cette affaire signe la fin de la carrière politique de François Legault, elle ne marque pas la fin de l’histoire maudite du Stade olympique. 

Ce stade, qui devait être un symbole de fierté, est devenu un monument à l’échec, un héritage d’incompétence, d’aveuglement politique et de gaspillage sans précédent. 

Peu importe qui prendra la tête du Québec en 2026, une chose est certaine : les Québécois continueront à payer pour ce cauchemar pendant encore bien des années.