Carey Price et Melania Trump: une leçon pour Angela Price

Carey Price et Melania Trump: une leçon pour Angela Price

Par Nicolas Pérusse le 2023-07-27

- Wow...

- Melania Trump fait la leçon à Angela Price...

- En lui montrant l'art de rester discrète...

- La femme de Donald Trump est le contraire de la femme de Carey Price.

- Elle ne recherche pas l'attention médiatique.

- Même qu'elle s'en cache....

- Elle évite de mettre son mari dans le trouble...(il le fait très bien lui-même).

- Anegla Price a fait l'opposé.

- Elle a utilisé la notoriété de son mari pour devenir populaire sur les réseaux sociaux et être le centre de l'attention.

- Alors que son mari ne voulait qu'une chose...la discrétion...

- Angela a mis le SPOTLIGHT sur elle, son mari et sa famille...

- Ce qui a fait sombrer Carey dans l'A-N-X-I-É-T-É et l'A-L-C-O-O-L car il ne savait plus comment gérer la pression sportive et l'attention du public en même temps.

- Si Carey Price avait été marié à Melania Trump...il aurait gagné la Coupe Stanley...

The New York Times: Depuis qu’elle a quitté la Maison-Blanche, le monde de Melania Trump s’est rétréci.

C’est exactement comme ça qu’elle l’aime. 

Cloîtrée derrière les grilles de ses trois maisons, elle s’en tient à un petit cercle – son fils, ses parents âgés et une poignée de vieux amis. Elle rend visite à ses coiffeurs, consulte Hervé Pierre, son styliste de longue date, et retrouve parfois son mari pour le dîner du vendredi soir dans leurs clubs. Mais sa quête la plus ardente est une campagne personnelle : aider son fils Barron, 17 ans, dans sa recherche d’une université. 

Ce qu’elle n’a pas fait, malgré les invitations de son mari, c’est se présenter dans des évènements de campagne électorale. Elle n’a pas non plus été à ses côtés lors de ses comparutions devant les tribunaux.

Tels sont les jours de Melania Trump, ancienne première dame, actuelle épouse de campagne et femme de l’un des personnages les plus controversés de la vie publique américaine. Contrairement à ses prédécesseures, elle n’a pas prévu de tournée de conférences, de livre ou de renforcement de ses activités caritatives, dont la plupart, selon des proches des Trump, ne sont pas entièrement visibles pour le public. Dans sa vie post-présidentielle, elle veut ce qu’elle n’a pas pu obtenir à la Maison-Blanche : un sentiment d’intimité. 

Ces efforts pour se retirer de la vie publique ont été compliqués par son mari, qui l’a transformée une fois de plus en femme de candidat. 

Alors que Donald Trump risque d’être i-n-c-u-l-p-é pour la troisième fois, elle a gardé un silence absolu sur les risques juridiques croissants qu’il court.

Bien qu’elle soutienne sa candidature à la présidence, Melania Trump n’est pas apparue lors de ses déplacements depuis que M. Trump a annoncé sa campagne en novembre et n’a pas prononcé un mot public à son sujet avant le mois de mai, lorsqu’elle l’a soutenu lors d’une interview accordée à Fox News Digital. 

« Il a mon soutien, et nous sommes impatients de restaurer l’espoir en l’avenir et de diriger l’Amérique avec amour et force », a-t-elle déclaré. 

Son absence constitue une différence frappante par rapport au début de la première campagne de Donald Trump. Melania Trump, vêtue d’une robe blanche sans bretelles, avait descendu un escalier roulant doré devant son mari lors du coup d’envoi de sa campagne à la Trump Tower. 

Les volets fermés

Melania Trump reste en contact et en amitié avec un petit groupe de personnes de l’époque où elle était à la Maison-Blanche, notamment la styliste Rachel Roy et Hilary Geary Ross, éminente réseauteuse de Palm Beach et femme de Wilbur L. Ross, ancien secrétaire d’État au commerce de M. Trump. Elle reste particulièrement proche de ses parents, qui ont un appartement à la Trump Tower à Manhattan et ont été vus lors d’évènements organisés à Mar-a-Lago, club privé et résidence des Trump en Floride. 

« De son point de vue et de celui de ses amis, elle a traversé beaucoup d’épreuves et en est ressortie en femme forte et indépendante », a déclaré R. Couri Hay, une publiciste qui connaissait Melania Trump à New York avant qu’elle ne se rende à Washington. « Elle a appris à fermer la porte et les volets et à rester discrète. Nous ne voyons pas grand-chose, nous n’entendons pas grand-chose. » 

Melania Trump a décliné toute demande d’interview. Ce récit est basé sur une douzaine d’entretiens avec des collaborateurs, des assistants de campagne et des amis, dont la plupart ont parlé sous le couvert de l’anonymat parce qu’ils n’étaient pas autorisés à évoquer les détails privés de sa vie. 

Selon des proches de la famille, le manque de soutien public de Melania Trump ne doit pas être confondu avec de la désapprobation ou de l’indifférence. Elle reste sur la défensive quant à son mari, partageant sa conviction que leur famille a été injustement attaquée.

Profondément méfiante à l’égard des grands médias, elle est une lectrice assidue du Daily Mail en ligne, suivant la couverture de Trump dans le tabloïd britannique conservateur. 

Melania Trump est particulièrement sceptique quant à l’affaire E. Jean Carroll, cette femme qui a obtenu 5 millions de dollars américains de dommages et intérêts lors d’un procès accusant Donald Trump d’a-g-r-e-s-s-i-o-n-s s-e-x-u-e-l-l-e-s dans les années 1990 et de diffamation après son départ de la Maison-Blanche, selon deux personnes au fait de ses propos. Lorsque Melania Trump a vu la couverture de la déposition de son mari dans cette affaire, elle a été furieuse que son équipe juridique n’en ait pas fait plus pour soulever des objections. Elle s’est également interrogée en privé sur la raison pour laquelle Mme Carroll ne pouvait pas se souvenir de la date précise de l’a-g-r-e-s-s-i-o-n présumée. 

En contrôle

Melania Trump est convaincue qu’en dépit des risques juridiques, Donald Trump pourrait retourner à la Maison-Blanche l’année prochaine. En privé, elle a exprimé sa curiosité à l’égard de Casey DeSantis, femme du principal rival de M. Trump, le gouverneur de Floride Ron DeSantis. Casey DeSantis est une proche conseillère de son mari et une présence régulière à ses évènements, et elle a commencé à faire campagne pour lui de son propre chef. 

Dans l’une de ses rares entrevues, Melania Trump a évoqué sur Fox News la possibilité d’avoir une seconde chance d’être première dame, déclarant qu’elle « donnerait la priorité au bien-être et au développement des enfants » si elle reprenait ce rôle. 

Mais elle n’a pas encore donné la priorité à la campagne. Bien qu’elle ait exprimé sa volonté de participer à des évènements pour son mari l’année prochaine, elle a jusqu’à présent refusé ses demandes de se joindre à lui sur le terrain. 

« Je ne pense pas que cela ressemblera à ce que nous avons vu avec Casey DeSantis », avance Stephanie Grisham, une ancienne collaboratrice de Trump qui a démissionné le 6 janvier. « Elle ne va pas enfiler des jeans et participer à des défilés. »

Kellyanne Conway, conseillère de longue date de M. Trump et proche de Melania Trump, a assuré que l’ancienne première dame était « à fond » dans la candidature de son mari et qu’elle restait sa « conseillère la plus fiable et la plus transparente ». Les deux Trump, a-t-elle ajouté, ont discuté en privé des « priorités » pour un second mandat. 

« Je connais peu de personnes aussi à l’aise dans leur peau que Melania Trump », a dit Mme Conway, qui ne travaille pas à la campagne. « Elle sait qui elle est et contrôle ses priorités. Melania laisse les gens spéculer, et ils continuent de se tromper. »

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