Luc Robitaille relance les Nordiques ! La bombe réveille Québec!
Le président des Kings est peut-être à Los Angeles, mais ses mots ont fait trembler les fondations du Centre Vidéotron.
Un an après avoir été au cœur d’une controverse politique à Québec, le président des Kings a remis les pendules à l’heure. Sans filtre. Sans excuses. Et surtout : avec une conviction claire et tranchante.
« Je suis très fier qu’on soit allé à Québec. Ça ne me dérange pas du tout d’avoir été dans cette controverse. »
Devant le journaliste Jean-Nicolas Blanchet du Journal de Québec, Robitaille a défendu avec fierté la subvention de 5,6 millions $ qui avait déclenché une tempête politique. Mais surtout, il a lancé un message clair : pour lui, Québec aura un jour une équipe de la LNH.
« Peut-être que dans quatre ou cinq ans, le monde de la télévision va changer. Il va se passer quelque chose et boum, une équipe de la LNH débarque à Québec. »
À qui s’adressait cette prédiction? À qui était lancé cet appel à l’action? À tous, certes. Mais surtout à un homme : Luc Poirier.
Car dans cette équation, Robitaille ne tourne pas autour du pot.
« Ce que ça prend, c’est un acheteur. Quelqu’un qui va dire qu’il veut acheter pour Québec et qui va payer 1,5, 1,7 ou même 2 milliards. »
C’est exactement ce que Poirier rêve de devenir. Et il ne s’en cache pas. Lors d’un entretien émotif avec Frédéric Plante, il avait déjà laissé tomber cette phrase qui résonne encore à Québec :
« Mon rêve, ce n’est pas une équipe de Formule 1. Mon rêve, c’est de ramener les Nordiques de Québec. »
Luc Poirier n’est pas un nostalgique. C’est un bâtisseur. Un visionnaire. Un rêveur assumé. Et il ne veut pas refaire le passé. Il veut écrire l’avenir.
Dans une capsule virale, tournée devant sa toute nouvelle Ferrari SP3 orange, Poirier résumait son ADN entrepreneurial :
« Je ne suis pas très nostalgique du passé. Je respecte le passé, j’essaie d’en apprendre, mais j’ai toujours une vision vers le futur. Ça fait partie de moi. »
Et d’ajouter :
« Ce n’est pas pour rien que j’achète du terrain plutôt que des blocs d’appartements. Il faut être capable de voir à cinq ans, dix ans, vingt ans. »
Chaque mot, chaque posture de Poirier est un rappel de cette vérité : il est le seul candidat crédible pour porter le flambeau laissé à terre par PKP.
Et justement, où est Pierre Karl Péladeau?
Après avoir réclamé des subventions à répétition. Après s’être embourbé dans ses projets avec TVA Sports. Après avoir laissé la saga des Kings dégénérer politiquement… il est maintenant invisible.
Pendant ce temps, Luc Poirier multiplie les apparitions, les messages, les projets. Il devient le centre de gravité de Québec.
Sa nouvelle Ferrari orange? Elle est devenue virale. Les réseaux sociaux s’enflamment. Les chroniqueurs économiques n’ont d’yeux que pour lui. Et il s’en amuse :
« Aujourd’hui, j’ai reçu une nouvelle Ferrari. Venez voir ça, on va la déballer ensemble. Le carbone est bleu, ça fit avec moi aujourd’hui. Toujours plus haut, toujours plus loin. »
Une phrase qui dit tout.
Robitaille défend sa subvention… mais confirme l’avenir
Luc Robitaille, dans sa rencontre avec Blanchet, ne recule pas devant la controverse de 2023. Il assume la claque publique. Il assume même d’avoir été l’enfant chéri qui s’est fait gifler par les élus et les chroniqueurs.
Mais il défend la démarche. Il défend Québec.
« Il fallait payer les déplacements des autres équipes (Boston, Floride). On a dit qu’on était prêts à venir, mais il fallait couvrir nos dépenses. Comme lorsqu’on joue en Europe. »
Et surtout, il insiste sur le potentiel de Québec :
« Je suis un grand porte-parole de la ville de Québec. Je le dis à tout le monde. C’est une ville de hockey extraordinaire. »
Une bombe dans une ville orpheline..
Car oui, Québec est orpheline de ses Nordiques. Mais elle n’est pas orpheline de son espoir. Cet espoir porte aujourd’hui deux noms : Robitaille et Poirier.
L’un, à Los Angeles, envoie des signaux cinglants. L’autre, sur le terrain, s’active, s’expose, et rêve à haute voix.
Et tous les chemins mènent vers un seul scénario : Poirier comme propriétaire, Robitaille comme bâtisseur ou partenaire, et la renaissance d’un projet trop longtemps enterré.
Un message aux cyniques : il ne manque qu’un acheteur
Robitaille l’a dit sans détour. Il ne manque qu’une chose pour que la LNH débarque à Québec :
« Ce que ça prend, c’est un acheteur. »
Et ce que Luc Poirier nous dit, chaque jour, par ses actions, ses paroles, ses gestes, c’est ceci : il est prêt. Il est cet acheteur.
Il voit loin. Il voit clair. Il voit Québec comme personne d’autre.
« Donnez-vous des objectifs. Écrivez-les. Même moi, je me dis : si je réussis à faire telle affaire, je vais m’acheter tel truc. Je ne suis pas attaché à mes autos. Je suis attaché à mes buts. »
Son but? Ramener les Nordiques.
Et le momentum est là. L’appui de Robitaille est là. La ville, elle, attend.
Luc Robitaille n’a pas lancé une phrase en l’air. Il a lancé une invitation.
Il a répété, dans son bureau à Los Angeles, que Québec pouvait avoir une équipe. Mais qu’il fallait un acheteur. Un vrai. Un visionnaire.
Et sans le nommer, il a écarté Pierre Karl Péladeau.
Parce que tout le monde sait que Luc Poirier est aujourd’hui le seul homme capable de rallumer la flamme des Nordiques. Le seul avec la vision, le cash… et le courage de faire face au jugement des élites.
Poirier l'a avoué:
« Je ne pourrai jamais travailler avec PKP.. »
C’est une rupture. Un divorce irréversible.
Les deux hommes ne travailleront jamais ensemble. Et pour la ville de Québec, c’est une question de choix : continuer à croire aux vieilles promesses non tenues de Péladeau, ou miser sur l’homme qui dérange, mais qui livre.
Celui qui débarque en Ferrari orange au centre Vidéotron. Celui qui parle à la population. Celui qui n’est pas nostalgique du passé, mais qui bâtit l’avenir.
Et si Robitaille est prêt supporter le retour des Nordiques, si les Kings sont venus… si l’élan est encore là…
Alors Luc Poirier devient le dernier espoir réel des Nordiques de Québec.
Il est temps de tourner la page. Il est temps de choisir un camp.
Luc Poirier est notre dernier espoir...