Dans un acte de provocation directe, Bob Hartley a lancé un message cinglant à l'endroit de Martin St-Louis, l'entraîneur-chef du Canadien de Montréal.
Ses mots, chargés d'une intensité évidente, visaient à souligner l'importance de prendre soin d'un talent émergent, Arber Xhekaj, surnommé "Le Shérif" par Hartley, dans une tentative flagrante de taquiner le coach du CH.
Hartley, avec une assurance déconcertante, a déclaré :
"Le Shérif, je veux le développer. Je veux qu'il joue. Je veux qu'il ait un rôle. Je veux qu'il se sente bien parce que des Struble, je te dirais pas que c'est rare. Xhekaj, c'est une perle. Qu'on travaille avec, qu'on l'aime, parce que je vais te dire que la journée qu'il va partir, y'a une méchante gang qui vont pleurer." (crédit: BPM Sports)
Ces mots étaient chargés d'une intention claire : rappeler à St-Louis que chaque perle mérite d'être traitée avec le plus grand soin et respect.
En appelant à développer et chérir Xhekaj, Hartley ne faisait pas qu'exprimer son soutien envers ce jeune joueur prometteur, mais il lançait également un défi à St-Louis pour qu'il accorde l'attention et l'affection nécessaires à ce talent brut.
L'utilisation du surnom "Le Shérif" pour Xhekaj semblait être une pique directe à St-Louis, qui n'aime pas qu'on nomme ce défenseur de cette façon.
En l'appelant "le Shérif" peut-être pour souligner l'importance de prendre soin de ses joueurs, comme un shérif prend soin de sa ville.
Ce message, à la fois cinglant et sans pitié, était destiné à faire réfléchir St-Louis sur la manière dont il gère les jeunes talents au sein de son équipe.
En fin de compte, Hartley a envoyé un avertissement clair : ignorer le potentiel de joueurs comme Xhekaj pourrait avoir des conséquences néfastes, non seulement pour le joueur lui-même, mais aussi pour l'organisation dans son ensemble.
Et avec une assurance sans détour et le torse bombée, Hartley a fait comprendre à St-Louis que les actions parlent plus fort que les mots dans le monde du hockey.