C’est une commotion médiatique. Un moment historique. Une claque magistrale.
Hier, à 14 h 54 tapantes, Martin Lemay a pris le micro, non plus au sein de BPM Sports, mais sur sa propre plateforme, sa propre émission, son propre monde. Et il n’a pas juste lancé un balado : il a lancé un mouvement
Le nom ? « Le Retour avec Martin Lemay »
La case horaire ? Exactement celle qu’il occupait à BPM Sports.
Le ton ? Inchangé. Authentique. Solide.
Mais surtout, les résultats ? DÉMENTIELS:
Un lancement qui entre dans l’histoire du web québécois
Avant même le premier épisode, la page YouTube de Martin Lemay comptait déjà plus de 8000 abonnés. Et au moment d’écrire ces lignes, le compteur dépasse les 8350, avant même le deuxième épisode.
Mais ce qui a renversé tout le monde, c’est l’impact du premier show :
25 000 visionnements en moins de 24 heures.
Des centaines de commentaires unanimes.
Une messagerie chat qui explose.
Une vague d’amour massive.
C’est du jamais vu pour un podcast québécois sportif. Aucun autre lancement dans ce créneau n’a généré un tel engouement pour un premier épisode.
Ce premier épisode n’était pas un test. C’était un show rodé comme jamais.
Martin Lemay a livré une émission rythmée, vibrante, bien structurée, où les collaborateurs sont venus s’ajouter comme dans un gala All-Star :
Bob Hartley, en direct de Russie, toujours aussi tranchant.
Vince Cauchon, coloré, drôle, érudit en football comme en hockey. Son segment ? Déjà le candidat au segment de l’année.
Jean-Luc Grand-Pierre, ancien joueur de la LNH, analyste à Columbus : une vision extérieure rafraîchissante.
Steve Bégin, fidèle au poste, toujours aussi humain et intense.
Luc Gélinas, égal à lui-même : rigoureux, connecté, crédible.
Et ce n’était que le début. Parce que les noms qui vont suivre dans les prochains épisodes donnent le vertige :
André Tourigny
Martin Biron
Patrick Friolet
Éric Bélanger
André Roy
Et plusieurs autre "studs".
Tous ont dit oui à Martin Lemay. Tous l’ont suivi. La loyauté qu’il inspire est à l’image de ce qu’il a semé durant des années dans le cœur des auditeurs.
Il y a quelques semaines à peine, RNC Média appelait Martin Lemay en pleine vacances en Grèce pour lui dire qu’il n’était pas reconduit à BPM Sports.
Un appel glacial. Une décision incompréhensible.
Alors que ses cotes d’écoute étaient exceptionnelles, que son émission était adorée, qu’il tenait la case horaire de l’après-midi avec brio, on lui a simplement montré la porte.
Mais comme le dit le proverbe : le karma finit toujours par faire justice.
Aujourd’hui, ceux qui l’ont écarté se mordent les doigts. Et Martin Lemay, lui, rayonne.
Selon nos informations, les commanditaires se bousculent déjà pour s’associer au projet.Pas besoin de chercher : les chiffres parlent d’eux-mêmes.
Plutôt que d’assumer la comparaison, BPM Sports a mis en ligne une émission spéciale de plus de 12 heures autour du tournoi de golf du Canadien de Montréal. Une très longue vidéo, continue, censée couvrir toute la journée… mais dont l’objectif réel ne trompe personne : accumuler artificiellement les vues pour contrer les chiffres de Martin Lemay.
Et même à ça… le résultat fait mal.
34 000 vues sur 12 heures de direct.
Pendant ce temps, Martin Lemay récolte 25 000 vues en 2h26.
Faites le calcul. Minute par minute, Martin Lemay pulvérise BPM Sports. En ratio d’engagement, en qualité de commentaires, en proximité avec l’audience.
Soyons clairs : 34 000 vues, c’est bien.
Mais c’est 34 000 vues sur une plage de contenu de plus de 720 minutes.
Martin Lemay, lui, a fait 25 000 vues sur une émission de 146 minutes.
Si on compare minute par minute, la performance est sans appel :
BPM Sports : 71 vues par minute.
Martin Lemay : 185 vues par minute.
C’est pratiquement 3 fois plus.
Et on ne parle même pas du ratio de commentaires, d’engagement réel, de partages, de mentions spontanées sur les réseaux sociaux. Martin Lemay est dans une autre ligue.
Évidemment, il faut savoir que BPM Sports attire les gens aussi par les ondes radio. Mais le nerf de la guerre pour les commanditaires en 2025, c’est YouTube.
Les cotes d’écoute radio traditionnelles restent importantes pour justifier les achats médias en ondes, mais c’est sur YouTube que les commanditaires voient la conversion directe, la portée segmentée, et surtout les données claires et actionnables.
Martin Lemay est un aimant. Un phénomène. Une figure que le Québec aime profondément. Voilà pourquoi tout le monde veut s'associer à lui.
Et si vous doutiez de l’impact de Martin Lemay sur ceux qui l’entourent, il suffit de revoir le message émouvant livré par Georges Laraque à l’annonce de son départ de BPM Sports.
Laraque, ému, la gorge nouée, a parlé de son frère, de son mentor, de l’homme qu’il admire. Il a dit que Martin allait cruellement manquer à BPM. Que son show était l’âme de l’après-midi.
Ce message a fait pleurer bien plus que Georges. Il a confirmé ce que tout le monde pensait : on venait de commettre une injustice.
Le Québec entier l’a suivi.
Mais ce qui est fascinant dans le cas de Martin Lemay, c’est que la rupture n’a rien cassé.
Il n’a pas eu à reconstruire sa marque.
Il n’a pas eu à convaincre les gens de le suivre.
Ils l’ont suivi instantanément.
Des milliers de partages. Des extraits viraux. Des commentaires pleins d’amour.
Et ce n’est pas seulement une question de chiffres. C’est une question de confiance. D’habitude. De respect. Martin Lemay est devenu, au fil du temps, une voix du peuple sportif québécois.
Ce succès fulgurant envoie un message fort aux médias traditionnels : le pouvoir est en train de changer de mains.
On n’a plus besoin d’antenne FM, de studios de radio, de grandes tours d’émission pour rejoindre le public. Il suffit d’un micro, d’un bon contenu, et surtout, d’un lien sincère avec les gens.
Et à ce jeu, Martin Lemay est imbattable.
Les chiffres sont là. Le contenu est là. Les collaborateurs sont là. Les commanditaires sont là.
Et le public ? Il est au rendez-vous comme jamais.
Tout le monde savait que Martin Lemay allait rebondir. Tout le monde… sauf BPM Sports.
Aujourd’hui, ils regardent de loin un homme qu’ils ont sous-estimé, humilié, renvoyé.
Et cet homme est en train de bâtir quelque chose de plus grand, de plus libre, de plus aimé que tout ce qu’ils auraient pu lui offrir.
Martin Lemay ne revient pas. Il monte. Il décolle. Il dépasse.
Et le Québec, lui, l’écoute. Encore plus fort qu’avant.