C’est un scandale monumental.
En entrevue exclusive avec Hockey30.com, Denis Coderre a lâché une bombe qui choque encore plus les contribuables montréalais : une seule piste cyclable, sur le coin de Wellington et Peel, a coûté plus de 14 millions de dollars.
Cet extrait vidéo place Valérie Plante dans l'eau chaude jusqu'au cou:
Oui, vous avez bien lu. 14 millions, prélevés directement dans les poches des Montréalais, pour une seule infrastructure qui, comme plusieurs autres décisions de Valérie Plante, paralyse la ville au lieu de l’améliorer.
Le plus sidérant dans cette affaire ? Valérie Plante ose justifier ses choix en parlant d’un budget limité. Elle a refusé de collaborer avec la famille Bronfman pour le retour des Expos, sous prétexte que la ville n’avait pas les fonds nécessaires.
Pourtant, elle n’a eu aucune hésitation à engloutir des sommes astronomiques dans ses pistes cyclables, véritables symboles de son idéologie aveugle et coûteuse.
Depuis son arrivée en poste, la mairesse n’a eu qu’un seul objectif : transformer Montréal en paradis des cyclistes, au détriment des commerçants, des automobilistes et des travailleurs.
Chaque rue est devenue un champ de bataille où les chantiers, les détours et les entraves sont omniprésents. 14 millions pour une seule piste ?
Imaginez le véritable gouffre financier que représentent la piste cyclable sur Saint-Denis et toutes les autres artères prises d’assaut par ces projets imposés sans consultation ni réflexion sur leurs conséquences.
Pendant ce temps, les commerces ferment les uns après les autres, étranglés par un centre-ville de plus en plus déserté.
Pendant ce temps, les Montréalais n’arrivent plus à se déplacer sans être pris dans un enfer bureaucratique de feux de circulation mal synchronisés, de détours et d’embouteillages interminables.
Ce chiffre de 14 millions de dollars pour une seule piste met en lumière la gestion catastrophique des finances municipales sous Valérie Plante.
Dans une ville où l’insécurité grandit, où les itinérants pullulent, où l’accès au centre-ville devient un cauchemar, où le métro se détériore, et où les infrastructures sont en décrépitude, comment peut-on justifier de telles dépenses ?
Le pire dans tout ça ? Ce n’est que la pointe de l’iceberg. Si cette somme astronomique a été déboursée pour une seule piste, combien dizaines de millions ont été englouties dans ce délire urbanistique qui détruit la ville ?
En dénonçant cette aberration financière, Denis Coderre met le doigt sur ce que tout le monde pense tout bas. L’administration actuelle ne croit pas au sport, ne croit pas à une ville dynamique et accessible, et ne croit certainement pas à la libre circulation des citoyens.
Tout est pensé pour favoriser les cyclistes, au détriment de la majorité silencieuse qui subit les effets désastreux de ces politiques absurdes.
Pendant ce temps, Bell négocie en coulisses pour peut-être délocaliser le Grand Prix à Toronto, un événement qui génère des centaines de millions de dollars en retombées économiques.
Les propos de Denis Coderre, très bien connecté au niveau de la F1 vu que l'ancien maire de Montréall a été consultant pour la FIA (fédération internationale de l'automobile, donne froid dans le dos.
Ses propos dans l'extrait vidéo suivant prouvent que le Grand Prix de Montréal est bel et bien en danger:
La mairesse a-t-elle agi pour rassurer la F1 et sécuriser notre place sur la scène internationale ? Non. Elle était trop occupée à dépenser des millions pour des pistes cyclables inutiles.
14 millions de dollars en fumée. Pour une seule piste cyclable. Montréal est en crise, le ras-le-bol est généralisé, et le gaspillage d’argent public atteint des sommets.
Ce n’est plus un simple débat d’opinions : les faits sont là, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Pendant que les Montréalais peinent à boucler leurs fins de mois, Valérie Plante brûle leur argent pour financer son obsession cycliste.
Imaginez.
Si une seule piste cyclable sur Wellington et Peel a coûté 14 millions de dollars, combien a bien pu coûter la catastrophe de la rue Saint-Denis ?
Une rue entièrement transformée, des kilomètres de pistes cyclables, des aménagements mal conçus qui ont anéanti les commerçants, des stationnements supprimés, des accès bloqués… combien de dizaines de millions de dollars ont été brûlés ?
Les faits sont là sur la rue St-Denis:
- Baisse de 50 % du chiffre d’affaires pour plusieurs commerçants.
- Des locaux vides, des commerces en faillite.
- Des embouteillages interminables qui rendent l’accès impossible. (ce qui devient un enfer lors des grosses tempêtes de neiges que nous venons de vivre).
- Des livraisons retardées, des coûts qui explosent.
- Un centre-ville déserté par les automobilistes et les banlieusards.
Et pendant ce temps, Valérie Plante applaudit son propre travail en déclarant que la rue Saint-Denis est un « succès retentissant ». Une honte sans précédent.
« On a perdu la moitié de nos clients. Les gens ne peuvent plus stationner facilement, et les pistes cyclables ont transformé la rue en cauchemar logistique », nous confie un propriétaire, visiblement en panique, désespéré et à bout de souffle.
« Elle vit dans un autre monde, cette mairesse. Ses statistiques, c’est juste de la poudre aux yeux. Les vrais chiffres, c’est nos comptes bancaires vides », s’insurge un restaurateur qui a vu sa clientèle régulière fuir à cause du manque de stationnement et de l’inaccessibilité de la rue.
Ces témoignages nous brisent le coeur. Les commerçants souffrent, les clients désertent, et la Ville continue de dépenser des millions sans aucune remise en question.
Combien a coûté ce fiasco monumental ? 30 millions ? 50 millions ? Plus encore ?
Personne ne le sait, parce que la Ville de Montréal refuse de rendre des comptes. Mais une chose est sûre : c’est une dilapidation de fonds publics d’une ampleur jamais vue.
Et ne vous y trompez pas : ce n’est pas un cas isolé. La rue Saint-Denis est devenue un symbole du naufrage de Montréal. Et que ce n'est pas les piste cyclables qui détruisent notre ville, c'est la piétonnisation qui est dévastatrice.
Car si les pistes cyclables et la rue Saint-Denis ont été un carnage économique, le projet de piétonnisation de Sainte-Catherine et Saint-Hubert représente un désastre qui pourrait bien signer l’effondrement définitif de l’administration Plante.
Déjà affaiblie par des décisions catastrophiques, la mairesse se heurte cette fois à une opposition frontale et massive, qui regroupe commerçants, citoyens et acteurs politiques dans un front commun contre ses idées déconnectées.
- 87 % des commerçants de Sainte-Catherine s’opposent fermement à son projet.
- 61 % des commerçants de la rue Saint-Hubert rejettent catégoriquement l’initiative.
- 65 % des Montréalais demandent une pause dans ces transformations radicales.
Et pourtant, Valérie Plante persiste et signe, convaincue que ses réaménagements forcés sont ce dont Montréal a besoin.
Mais qui écoute-t-elle vraiment ? Certainement pas les commerçants qui perdent entre 30 et 50 % de leurs revenusà cause des travaux et du manque d’accessibilité.
Qui croit-elle satisfaire ? Certainement pas les automobilistes qui subissent un enfer quotidien pour se déplacer dans une ville bloquée par des cônes orange et des rues amputées de stationnements.
Qui pense-t-elle convaincre ? Certainement pas les citoyens qui voient leur centre-ville disparaître à petit feu, déserté par ceux qui ne peuvent plus s’y rendre aisément.
« Ça va créer de l’insécurité, point », clame Alain Creton, président de l’Association des commerçants de la rue Peel, inquiet de voir ces nouvelles zones piétonnes devenir des refuges pour itinérants et des lieux d’attroupement nocturnes douteux.
« Ce n’est pas le moment de chambouler le centre-ville alors que des élections approchent et que les commerçants peinent à se relever », dénonce François Vincent, vice-président de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI).
Les chiffres et les témoignages sont accablants. Mais Valérie Plante refuse d’écouter.
Alors que les rues se dégradent, l’insécurité monte, les taxes explosent, les chantiers s’éternisent, les commerces ferment, les Montréalais en ont marre.
Mais au lieu d’agir sur les véritables urgences, Valérie Plante continue d’imposer son idéologie rigide, sans considération pour ceux qui subissent ses décisions absurdes.
Partout, les quartiers sont transformés sans consultation, sans respect pour les résidents et les commerçants. Et qui paie la facture ? NOUS.
Nos taxes, notre argent, engloutis dans des projets absurdes pendant que la ville s’effondre sous l’insécurité, la saleté et la congestion.
Montréal n’a jamais été aussi mal géré. Il est temps que cette folie cesse. Il est temps que les élus rendent des comptes.
Parce qu’à ce rythme-là, Montréal ne se relèvera pas de l’ère Plante avant bien longtemps.