McDonald’s a récemment décidé de choisir Juraj Slafkovsky pour sa prochaine campagne publicitaire cet automne, au Québec, selon nos informations.
Toutefois, certains craignent que Slafkovsky ne soit frappé par la malédiction de McDonald’s. Que ce soit Jonathan Drouin, Jeff Petry, Brendan Gallagher ou même Cole Caufield, tous les joueurs qui ont participé à une publicité McDo ont connu des saisons décevantes, voire catastrophiques.
Inutile de vous dire qu'Alex Galchenyuk et Max Pacioretty ont aussi fait partie des pubs de McDo. Ouch. Inutile de vous rappeler leur fin à Montréal. Espérons que Slafkovsky saura briser cette malédiction.
Dans le cadre de cette nouvelle campagne, McDonald’s prévoit également de lancer des menus à 5 dollars au Canada d’ici l’automne, après avoir testé cette initiative aux États-Unis.
Cette décision intervient alors que l’entreprise fait face à une chute libre financière. Le géant de la restauration rapide a récemment annoncé la mise en place de ce menu à 5 $ aux États-Unis pour contrer le ralentissement de ses ventes, forçant d’autres acteurs majeurs du secteur à suivre le mouvement.
Le prix du « cheeseburger » ayant augmenté de 55 % au cours des trois dernières années, McDonald’s a vu ses ventes ralentir lors du dernier trimestre, et son action a perdu 10 % de sa valeur.
Face à ces difficultés, McDonald’s a décidé de prendre des mesures drastiques en proposant un menu à 5 $ de l’autre côté de la frontière. La même stratégie arrivera au Canada d'ici l'automne.
Ce menu va bel et bien voir le jour au Canada, bien que légèrement plus cher en raison du taux de change. Et McDonald's voudrait profiter de la popularité de Slafkovsky pour être la tête figure de cette campagne.
Cette initiative a relancé la guerre des prix entre les concurrents, avec Burger King prenant les devants en lançant un menu à 5 $ avant McDonald’s.
Wendy’s a également suivi cette tendance en proposant un déjeuner à 3 $, offrant ainsi des options économiques aux amateurs de fast food dans un contexte économique difficile.
Avec Juraj Slafkovsky comme visage de leur nouvelle campagne et une initiative audacieuse pour attirer les consommateurs, McDonald’s espère redresser la barre et retrouver sa place de leader dans le secteur de la restauration rapide.
Juraj Slafkovsky devrait toucher entre 100 000 et 120 000 dollars pour sa participation à cette campagne publicitaire de McDonald’s.
Cette somme considérable reflète non seulement la stature de Slafkovsky en tant que joueur vedette, mais aussi l’ampleur de l’enseigne McDonald’s par rapport à des chaînes locales.
Pour mettre cela en perspective, Arber Xhekaj a empoché seulement 25 000 dollars pour promouvoir le burger des restaurants « La Chambre ».
Comparé aux 120 000 dollars de Slafkovsky, ce montant apparaît comme des peanuts. Cette différence de rémunération souligne la distinction entre une vedette montante et un "défenseur goon" certes populaire mais au talent limité, tout comme elle illustre l’écart entre une multinationale comme McDonald’s et une chaîne locale comme La Chambre.
La campagne de McDonald’s avec Slafkovsky ne se contente pas de viser à relancer les ventes en proposant des menus à 5 dollars, elle met aussi en avant un joueur dont le potentiel et la popularité auprès des fans peuvent attirer une nouvelle clientèle.
Slafkovsky incarne l’avenir du Canadien de Montréal, et son association avec une marque aussi emblématique que McDonald’s pourrait créer une puissance publicitaire et marketing bénéfique" pour les deux parties.
McDonald’s, en difficulté financière, mise gros sur cette campagne. En recrutant une figure aussi prometteuse que Slafkovsky, l’entreprise espère non seulement attirer les fans de hockey mais aussi renforcer son image de marque.
De son côté, Slafkovsky, avec cette exposition, pourrait gagner en notoriété et renforcer sa position de star montante, malgré les craintes liées à la fameuse malédiction des publicités McDo.
En fin de compte, cette collaboration pourrait se révéler être une double victoire si McDonald’s parvient à revitaliser ses ventes et que Slafkovsky évite la malédiction pour continuer à briller sur la glace.
La stratégie de McDonald’s d’investir dans des figures populaires du sport s’inscrit dans une volonté de renouer avec le succès, et Slafkovsky semble être le candidat idéal pour cette mission au Québec.
On se demande si Martin St-Louis va lui tomber dessus comme il est tombé sur la tête de Xhekaj avec son burger. Comme McDonald's a toujours eu de bonnes relations avec le Canadien de Montréal en tant que partenaire commercial, parions que St-Louis sera plus indulgent.
De quoi rendre jaloux Xhekaj...